1. Une amie de ma mère


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Première fois Anal

    ... pantalon, pour s’imprégner de mes odeurs mâles.– Je n’ai pas pris de douche depuis vingt-quatre heures…– Tu es parfait comme cela. Je vais te consommer dans ton jus. Oh, comme tu bandes !Elle tâtait mon sexe à travers le tissu encore clos, puis a croisé mon regard avant de défaire la bouche de ma ceinture, puis d’abaisser la braguette, comme pour me demander la permission d’accéder à mon intimité. Helena, une mangeuse d’homme ? Je n’imaginais pas une telle délicatesse, et croyais qu’elle allait se jeter sur moi comme une fauvesse afin de me tuer à force de sexe frénétique – ce qui m’aurait très bien convenu, d’ailleurs.J’ai fini moi-même de retirer mon pantalon et mes chaussettes, qui me paraissaient ridicules. Puis elle a abaissé mon slip avec ses deux mains. Mon pénis bandé puis a presque sauté à la figure. Elle l’a pris dans ses mains, délicatement, pour en apprécier le rosé du gland humide.Une femme de chambre a toqué à la porte pour apporter du champagne. Elle a dit quelque chose en langue russe à Helena, qui lui a répondu sur un ton assez sec, puis elle est repartie en me souriant, alors que j’était gêné d’être nu face à elle, en tentant de masquer mon sexe levé avec mes mains jointes. Dans la conversation, j’ai seulement saisi que le prénom de cette jeune personne en tenue de soubrette était « Dévotchka ».Helena a débouché la bouteille de champagne, puis a rempli elle-même des flutes en cristal. J’admirais la vue sur la ville depuis la fenêtre du huitième étage. Elle ...
    ... m’a nommé les monuments visibles. Puis, nous avons trinqué. Comme je n’avais pas l’habitude de boire de l’alcool, j’avais déjà la tête qui tournait après un seul verre.– À la Russie éternelle, a-t-elle déclaré !– J’imaginais un toast plus… personnel ! Moi, je me fous de mon pays, parce que je me sens un citoyen du monde. Mais va pour la Russie !– Tu n’as jamais pénétré une femme, n’est-ce-pas ?– Non, jamais.– Ni par derrière, ni par devant ?– Ni même une fellation. Vous êtes la première.– Pour une initiation, tu aurais peut-être préféré une fille de ton âge ? Comme tes cousines… Annie et Mélanie, c’est ça ? J’ai cru comprendre qu’elles avaient très envie de toi, et que tu t’es refusé à elle… pour moi ! Surtout Annie. Très mignonne, cette jeune fille. Je l’aurais bien mise dans mon lit. Ou bien… peut-être voudrais-tu expérimenter le sexe avec la jeune employée qui est venue nous apporter du champagne tout-à-l ’heure.– Dévotchka ? C’est possible, ici, de baiser le personnel ?– C’est bien son prénom. Pour un français, tu as l’oreille fine. Bien-sûr, tout est possible avec de l’argent. Ici, absolument tous tes fantasmes peuvent trouver réalisation : il te suffit de me demander.– Vous êtes une femme de grande classe. Je n’aurais pas pu rêver mieux que vous, ai-je répondu en tripotant ses seins que je trouvais d’une douceur infinie.– Alors, finis de me déshabiller, mon jeune puceau français. Tu te débrouilleras avec la lingerie.Sous la jupe, dont la suppression ne m’a pas posé de ...
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