1. Sandrine et les trahisons (1)


    Datte: 18/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... classique Sandrine ! Nous rions. Arrivent alors deux serveurs qui nous proposent de nous débarrasser de nos manteaux. Occupé à retirer mon smartphone d’une poche, je ne vois pas Sandrine retirer son manteau. Quand je relève les yeux sur elle, je ne peux retenir un "Whaw" aussi spontané que sincère. Sandrine sourit. Elle sait que son chemisier ivoire fait son effet. Quelques mois auparavant, elle m’avait avoué qu’elle taillait 90C ou 90D selon les marques de soutien-gorges et là, moulés dans le chemisier, ses seins ronds et hauts attirent irrésistiblement mon regard. Il me faut quelques instants pour reprendre mes esprits. — Dis donc, ça te réussit de travailler à la direction ! — Pourquoi ? — Tu as perdu du poids. Sandrine sourit largement. Elle ne s’attendait pas à ce que j’aie remarqué. Ses joues me semblaient plus minces, mais son absence de ventre, ses hanches et sa taille plus fines confirment mon impression. — Je vais au fitness trois fois par semaine depuis environ trois mois. — Tu dois être très assidue. — Merci. Je n’ai perdu que trois kilos, mais je vois la différence : je suis moins molle et plus musclée. — En tout cas, ça te va très bien. Tout comme ta tenue. J’aime beaucoup. — Pourtant, de ce côté-là, il n’y a pas de changements. — A Grenoble, tu étais presque toujours en jeans et en pull. — Bah, ici aussi, hein ! Mais je sors avec mon mec ce soir. Je ne réponds rien. La coïncidence est trop grosse pour être vraie et je ne vais pas la questionner, car Sandrine ...
    ... n’avouera rien. — Tu veux pas te lever pour que je te vois entièrement ? — Non. — Pourquoi ? — Je n’arrive pas à perdre du poids de partout. Elle sourit. — Heureusement ! — Arrête ! J’aimerais bien perdre de là aussi… — Et moi, j’aimerais bien te voir debout. Chifoumi ? Sandrine rit. On avait instauré le chifoumi lorsque nous n’étions pas d’accord. Parfois de façon tout à fait absurde, mais cela rendait le désaccord plus drôle encore. Et on le jouait toujours sur une seule partie. Sandrine me regarde, hésite puis tend finalement le poing. Son ciseau se fracasse sur mon caillou. Elle se lève. Le soleil hivernal qui pénètre dans la pièce est alors mon allié. Le pantalon noir est parfaitement ajusté sur ses cuisses, ses hanches et même son sexe, dont les lèvres sont partiellement dessinées. Le chemisier tombe élégamment et je devine en transparence la dentelle du soutien-gorge. J’avale avec peine ma salive au moment où Sandrine se tourne et je n’ai d’yeux que pour ses fesses rebondies. Elle n’a pas perdu ce postérieur un peu large qui me plaisait tant. Mais les deux globes bombés sont clairement plus musclés, plus "secs" et plus hauts qu’il ne l’ont jamais été. Elle ne perdra rien, elle a l’un des culs les plus excitants que j’aie vu et la couture du pantalon qui glisse dans sa raie est un véritable chef d’oeuvre vestimentaire. Sandrine se rassied, me laissant songeur devant tant de beautés. Nous commandons. Nous poursuivons nos discussions pendant le repas, parfois graves ou ...