1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (7)


    Datte: 04/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... S’il lui fallait une preuve, elle en a deux devant elle. Sidonie et Gisèle sont dans ce taudis, copulent ensemble. J’avise un vendeur de boisson, lui commande deux soda, lui laisse 10 balles dans la main. le bonhomme est heureux comme tout quand je refuse sa monnaie. De la cabane, nous parviennent des gloussements de bonheur et nos deux petites cochonnes sortent peu après, visiblement fatiguée, surtout Sidonie, allez savoir pourquoi. Pendant le retour, Yvana est près de moi. Je lui suggère se poser sa chatte sur le levier de vitesse, c’est un vibromasseur à lui tout seul. Le tout sous le regard de mes deux petites pestes. La belle mouille, ça brille au soleil. Je masse sa peau noir, elle est canon, y pas à dire. Pire que tout, elle semble plaire à ma future. Sur le levier de vitesse, elle n’ose se l’enfoncer dans sa chatte délicieusement baveuse. J’arrête le véhicule ne roue libre. Je l’attire sur moi, sors mon chibre, j’ai une soudaine putain d’érection. Je lis la peur sur le visage de ma beauté black. J’insinue mon majeur, la fixe, sa tête me fait oui en se mordant sa lèvre inférieur. Je la couche sur mes cuisses, massant sa poitrine exquise. Je l’embrasse, Sidonie passe par-dessus le siège, se glisse entre ses cuisses qu’elle lèche en remontant jusqu’à sa vulve ouvert, toute rose, superbe. Gisèle se joint à nous, cela devient acrobatique mais si sensuel, si délectable. « Tu vois, je suis un putain de salaud de bourreau sadique. Tu vas souffrir quand je te prendrais ton ...
    ... corps. Tu vas souffrir quand je le prendrais de partout. Tu vas souffrir quand je ferais de toi elles deux. Tu vas hurler de douleur, de plaisir, parfois tout à la fois. Comme pour elle, je vais te le dire. C’est arrivé quand tu as passé la porte, je t’ai aimée au premier regard, comme ces deux petites chiennes. Je te veux dans mon chenil, je te veux comme je les veux. Me quitter, c’est mourir en étant une morte vivante. Gisèle vient d’en avoir la preuve. Ta venue ne pouvait pas mieux tomber. Vivre sans vous, autant me pendre. Voilà, c’est dit ! » Je ne sais si ce sont mes mots, tu parles, ou la langue et les caresses de mes deux complices, mais la belle négresse jouit en plongeant son regard dans le mien. Retour au bercail, la maison me semble vide. Il y a un mot sur la table, d’Isabelle, il nous apprend qu’ils sont tous aller manger dehors, qu’ils nous laissent la maison jusqu’à dimanche. J’éprouve un sentiment de bonheur irréel, j’emmène Yvana dans la bâtisse. « Tu vois, c’est ici que tu viendras me subir. Douleur, viol, plaisir, je te donnerais tout ce que tu mérites. Sache que tout est un ensemble, un savant mélange entre douleur et plaisir. » Après un verre ou deux, un bon morceau de barbaque, nous montons nous coucher. Sidonie, tout comme moi sommes crevés. Gisèle s’empare du corps de notre nouvelle complice et compagne. Blottie contre moi, Sidonie dort déjà, je baise son front tendrement. Je fais une douce caresse à mes deux gourgandines qui se donnent l’une à l’autre. ...
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