1. L'amour d'un père (14)


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mais bon quand-même. Elle le remarque et cela la comble de joie de voir que nous jouissons ensemble. Elle m’enlace ensuite tendrement en caressant mes cheveux blonds comme lorsque nous faisions des siestes ensemble quand j’étais petite. Cela me fait drôle de la voir devenir tendre après ce qu’elle m’a fait tout à l’heure. — Je t’aime, ma chérie, me dit-elle. — Je t’aime, maman, lui dis-je en guise de réponse. Je sais qu’elle aurait préféré que je l’appelle "grande sœur", mais je n’y arrive pas à m’y faire. Ce n’était que notre première fois. Cela arrive souvent maintenant. Elle vient pour me sauter comme sa chose. Tantôt avec le gode pour me prendre comme un homme, tantôt sans. Dans ces cas-là, elle m’ordonne de la lécher et de la doigter. Je fais usage de tout ce que j’ai appris avec Erika. Je lui ai dis que je n’aimais pas trop porter la ceinture, alors elle ne me le demande plus, par contre, elle aime beaucoup m’attacher pour faire de moi ce qu’elle veut, elle joue alors avec mon corps et m’enfonce ses jouets dans la chatte et le cul, parfois les deux en même temps. Elle me torture en me maintenant à la limite de l’orgasme. On dirait que ça l’amuse quand je la supplie de me laisser jouir : — Maman, maman ! Pitié ! Je veux jouir ! dis-je en lui criant dessus, mais elle n’en à rien à faire. Elle me refuse la délivrance en me traitant de pute et de salope à réclamer ainsi du sexe. C’est une perverse ! Elle aime vraiment me voir en état de manque profond, quand je suis prête ...
    ... à tout pour un coup de bite. Elle me laisse dans la frustration pendant ce qui me semble une éternité, puis elle accepte finalement de m’achever. Je suis alors enfin au paradis. Je hurle de plaisir, on doit m’entendre dans toute la maison. Elle a raison, je suis une trainée, une droguée à l’orgasme. J’en veux tout le temps et ferait n’importe quoi pour en avoir un. Je dois être pire qu’Erika. J’ai honte. Je suis sa fille, sa chose, et il lui arrive même d’en faire profiter les autres. Comme le jour où elle m’a attachée à mon lit avec un bandeau sur les yeux. À quatre pattes, elle m’a d’abord léché le cul et m’a doigté la chatte, puis elle m’a enfoncé des boules de geisha dans l’anus. Je suis toujours abasourdie par la variété de sa collection d’ustensiles. Au bout de dix minutes à jouer avec moi comme ça, j’ai finis par la conjurer de me faire jouir. C’est là qu’elle a tout arrêté et que je l’ai entendue partir. J’ai cru à une farce. Elle ne pouvait pas me laisser comme ça, c’est impossible. Je l’ai appelée plusieurs fois sans avoir de réponse. Elle n’était vraiment plus là. Je n’ai jamais été aussi frustrée. ! Ma chatte trempée dégoulinait sur les draps. J’avais besoin de baiser ! J’avais besoin de jouir ! J’ai commencé à crier : — Pitié ! Pitié ! Ne me laisser pas comme ça ! N’importe qui, venez me baiser ! Comme personne ne venait, j’ai commencé à me lâcher : — Allez ! Venez ! N’importe qui ! Servez-vous de moi comme votre pute ! J’ai besoin qu’on m’utilise ! Je veux de la ...
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