1. L'amour d'un père (14)


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bite et du foutre ! Je suis une décharge à sperme ! Venez tirez votre coup ! Mon cœur fit un bond dans ma poitrine quand j’ai entendu la porte de ma chambre s’ouvrir. Était-ce maman qui était revenue ou une autre personne ? Je ne voyais rien, j’avais toujours le bandeau. Qui que c’était, quel spectacle je devais lui offrir : attachée à quatre pattes comme une chienne sur le lit, complètement à poil, avec le cul bien relevé comme implorant d’être pris ; un vrai trou à bite offert. J’ai entendu des bruits comme quelqu’un qui se déshabille, puis des grincements lorsqu’il est monté sur le lit. Je frissonnais d’impatience. Je ne savais même pas si c’était une fille où un garçon : — Baise-moi, s’il te plait, dis-je. J’ai besoin de jouir. C’était un homme, j’ai senti la pression d’une queue à l’entrée de mon vagin brulant. J’ai gémis lorsqu’il s’est fiché entièrement en moi. Il m’a limée alors que j’avais encore les boules de geisha dans mon cul. Il n’avait aucune douceur, il me sautait juste pour se vider les couilles. Je l’ai encouragé pour qu’il y aille plus fort. Il m’a tiré par les cheveux et donner des fessées. En l’entendant gémir et soupirer, j’ai reconnu Lucas. Je me suis rendu compte que maman était revenue que lorsque je l’ai entendue s’exclamer : — Notre petite chienne à enfin trouver quelqu’un pour la monter. Baise bien ta sœur Lucas. Tu as entendu comment elle a hurlé pour qu’on vienne la baiser ? — Oh, oui, putain, répondit-il. Je n’ai pas pu résister. — Tu aimes ...
    ... sauter ta sœur, hein mon chéri ? — J’adore ! C’est la meilleure ! Je veux la baiser jusqu’à la fin de mes jours ! — Regarde-là, cette salope, elle ne demande que ça. Elle aime la bite, ça se voit. Encule-là, mon chéri. Je veux la voir se faire enculer. Sans autres préliminaires, il retira délicatement les boules de geisha de mon cul et les remplaça par sa queue pour me ramoner. J’avais la tête dans l’oreiller à moitié sonnée par le plaisir qu’il me procurait. — Hmm, vous êtes si mignon à regarder tous les deux, déclare maman. Je l’imaginais en train de se toucher en nous regardant. Je me moquais d’avoir des spectateurs, je prenais un pied monstrueux. J’avais enfin ce que je voulais : une bonne bite qui me lime l’anus. Je sentis mon orgasme approcher. Je n’osai pas le dire de peur qu’on me joue un nouveau mauvais tour. Maman exhorta Lucas à me faire des choses. Ils échangèrent des propos salaces et parlèrent de moi comme si je n’étais pas là : — Putain, maman, elle a un cul incroyable ! — Bourre-le, mon fils. Je veux que tu en fasses un cratère béant. Souille-la ! — Oh ! Putain ! Oui ! Cela a continué, mais je ne les entendais même plus. J’étais trop proche de jouir. Je finis par éclater à grand cri. Mon corps trembla tandis que je me tortillais dans tous les sens. Ce fut tellement intense, une véritable libération tant j’ai attendu mon orgasme depuis longtemps. J’ai eu l’impression de perdre connaissance. Lucas s’est arrêté le temps que je profite de ma jouissance, mais il reprit ...
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