Lucie en redemande. Les écrivains sont des cochons.
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
couple,
extracon,
copains,
enceinte,
amour,
fsodo,
historique,
humour,
En rentrant tard chez lui Alexandre perçut dans le noir la présence de Lucie , qui avait les clefs . Un parfum subtil ? Un souffle ? Un objet déplacé ? Il la découvrit dans la chambre où entrait un discret clair de Lune. Elle était sur le lit , presque nue , à quatre pattes et le visage dans les draps. Elle balançait doucement ses fesses offertes entre lesquelles subsistait un peu de dentelle noire. — Encule moi , murmura-t-elle, presque suppliante. S’étant mis nu et à genoux derrière elle il admirait ce cul sans se décider à l’effleurer , savourant son plaisir à le voir frémir dans l’attente des caresses. Elle commençait à se trémousser d’impatience . — Tu y tiens vraiment ? dit-il en posant doucement sa main sur une fesse. Pour faire durer l’attente sans la frustrer il lui glissa deux doigts qu’elle reçut avec soulagement. C’était la première fois qu’elle demandait à être sodomisée sans avoir d’abord fait l’amour chrétiennement. Elle avait bien vite pris goût à ce plaisir pour lui même et non plus en simple variation…Il lui massait tendrement le trou du cul tout en éprouvant son érection de l’autre main. Elle se branlait discrètement par en dessous. Retirant ses doigts il posa une main sur chaque fesse pour les écarter légèrement et pointa son sexe là où elle l’espérait. D’une première poussée il ouvrit la voie et à la seconde il y était en entier. Les mains confortablement calées sur les hanches de sa maîtresse il la faisait aller et venir lentement et profondément. En ...
... bout de course elle accentuait la pression pour se sentir encore mieux prise . Il accéléra le mouvement au rythme des «Ah» et des «oui» de Lucie. Elle se redressa complètement et il se plaqua derrière elle en lui empoignant les seins. Leurs bouches se trouvèrent tandis que , d’un petit mouvement sec et vigoureux il l’enculait à fond. Elle poussa un râle et s’effondra , entraînant son amant qui l’inondait . Lucie et Marie de Heredia, n’avaient que quelques mois de différence d’âge. Elles s’étaient connues par l’entremise d’une sœur de Lucie, qui fréquentait le même cours de peinture que Marie. Un thé littéraire, organisé régulièrement par madame de Heredia, leur donnait l’occasion de se croiser, et ce jour là Marie entraîna discrètement Lucie vers un boudoir. Elles ne s’étaient jamais revues en tête à tête depuis leur baiser échangé un soir d’été dans le bois de Vasouy. — Lucie, il y a bien longtemps … Je suis heureuse de te revoir si belle. Bientôt vingt-cinq ans ?— J’en ai eu vingt-quatre en novembre.— Comment vas-tu ? Raconte-moi ta vie …— Elle est très calme et heureuse, entre mes parents, mes sœurs et l’écriture …— Belle, libre et diplômée, tu es bonne à marier…Attention sainte Catherine te guette ! — Il faudrait le trouver ce prince charmant…— Et ce bel homme de l’Odéon ?— L’Odéon ?— Allons, pas de cachotteries, ma sœur t’a vue entre Mallarmé et un très bel homme.— Oui, il y avait du monde ce soir-là, ce devait être …— Non, non, non, ça ne marche pas. Raconte ! Je ne dirai ...