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Lucie en redemande. Les écrivains sont des cochons.
Datte: 22/10/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, couple, extracon, copains, enceinte, amour, fsodo, historique, humour,
... Ça fait du bien d’en parler non ? Comme, de se confier quand on écrit des poèmes en cachette.— Ça me pesait sur le cœur. Je suis donc normale.— Pour en avoir le cœur net, parles-en à tes amies.— Mais tu ne tiens pas tes promesses. Où sont les expériences prouvant que les écrivains sont des cochons ? Si j’écarte ton mari il ne reste que Pierre-Louis . C’est peu.— In cauda venenum … C’est vrai, au fond tu as raison. Mariée et toujours pucelle à vingt-trois ans passés, je méritais ce coup d’épingle . Je me suis bien rattrapée depuis. Quelle curieuse expression, s’il y avait du venin dans la queue nous serions toutes mortes !— D’une petite mort ! — Quelle langue de vipère tu fais.— Pas de sermon ! Tu cherches bien à tromper ton homme.— Je l’ai menacé.— As-tu un candidat ?— Je l’ai menacé de le faire avec une femme.— Petite futée ! Rien de tel pour qu’il te pousse à exécuter ta menace !— C’était une parole en l’air.— Non, viens t’asseoir près de moi, tu verras si j’ai une langue de vipère. — Il faut que je t’avoue… j’ai aussi… je ne sais pas ce qui m’est arrivé…— Avec Rafaël ?— Non, avec Marie.— Tu l’as fait ?— Oui.— Tu as des remords ?— Non ! L’attitude de défi de sa jeune maîtresse provoqua chez Alexandre une fameuse crampe d’écrivain contre laquelle un seul remède est efficace. Elle fut vite nue sur le lit. Il la prit ...
... d’abord comme un bon chrétien, mais elle ne semblait pas s’en satisfaire. Elle se mit à quatre pattes devant lui. Du bout des doigts il lui donna l’onction tout en soufflant : — Nous allons essayer autre chose. Son sexe s’enfonça facilement entre les deux moitiés de noblesse de Lucie. La brève douleur fut balayée par une onde de plaisir. Après quelques instants Alexandre se laissa aller sur le côté droit, entraînant sa partenaire en qui il restait aussi profond que possible . Couché sur le flanc il l’enlaça du bras gauche pour prendre ses seins . Du bassin il accélérait et amplifiait le va-et-vient de son sexe. Elle se masturbait et commençait à pousser de petits cris. Il lui en arracha deux ou trois plus forts en poussant en elle autant qu’il le pouvait, et s’arrêtant une seconde en bout de course . Puis glissant son bras droit sous elle il saisit un sein dans chaque main et roula sur le dos dans un mouvement qu’elle ne pouvait que suivre . Il la tenait prisonnière, allongée sur lui, pantelante . Pour finir il la fit asseoir, empalée, lui tournant le dos, les genoux sur le lit . Cambrée, en appui sur une main, elle se caressait de l’autre . Par dessous il continuait à s’agiter autant que la position le lui permettait . Pris d’une brève frénésie ils jouirent presque au même instant et elle se laissa tomber à la renverse.