1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (19)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... bain ? — Non. Pourquoi, il n’est pas bien ? lui répondis-je avec désinvolture. Il est vrai que je me sentais ridicule à côté d’Aude, presque nue, avec mon short de bain qui me descendait presque aux genoux. — Tu sais, les filles aiment bien voir les fesses des garçons, et j’aimerais bien te voir un peu mieux. Si tu veux, on ira en acheter un quand nous prendrons à manger. Là-bas (elle pointa son doigt), il y a un magasin d’articles de plage ; tu trouveras un truc bien, je suis certaine. Allez, viens t’asseoir et raconte-moi ce qui ne va pas. Tu as un problème de cœur ? — Oui et non... Je ne sais ni comment, ni pourquoi, je lui ai tout raconté, ou presque. Assise, ses jambes repliées contre sa poitrine et le menton posé sur ses genoux, elle m’écoutait sans rien dire puis, arrivé au bout de mon récit, elle me dit : — Eh ben dis donc, toi et ta sœur, vous êtes deux sacrés numéros ! — Excuse-moi, je n’aurais pas du te raconter cela ; je vais te laisser. — Pas question : maintenant que tu m’as excitée, j’ai envie de faire l’amour, et tu vas me satisfaire, autrement je te fais un vilain chantage. — Bah, c’est que... — Tu aimes le cul ? Ça tombe bien : moi aussi. Allez, debout ! On casse la croûte et on trouve un endroit ; j’ai grave envie de baiser. Tu vas voir, je vais te requinquer... Nous nous sommes rhabillés ; à Cannes, il est interdit de se promener torse nu ou en maillot en ville sous peine d’amende. En chemin, nous avons encore parlé et je lui ai dit que j’avais un studio. ...
    ... Alors nous sommes montés dans mon studio de vingt-cinq mètres carrés. J’avais à peine ouvert la porte qu’elle était entièrement nue ! Une fois à l’intérieur, elle me descendit mon caleçon en poussant un « Waouh... » admiratif en découvrant la taille de mon sexe. — Alors toi, je ne vais pas te lâcher de sitôt ! Nous avons fait l’amour comme des fous. Elle a joui plusieurs fois, et moi aussi. Puis nous sommes restés allongés côte à côte, les yeux dans les yeux, sans un mot, à nous caresser tendrement. Cet après-midi avait un goût sucré ; j’étais envahi par une sensation étrange : je n’arrivais pas à détacher mon regard du sien, elle m’hypnotisait. Puis nous avons mangé, nus, puis nous nous sommes douchés, avons fait l’amour sous la douche. Puis, recouchés, nous avons refait l’amour. J’étais épuisé, et nous avons dormi jusqu’au lendemain. J’ai appelé Justine pour lui faire partager mon bonheur. Je lui ai tout expliqué en détail ; elle était heureuse pour moi. Elle m’expliqua alors que Michel avait trouvé du boulot à Paris et qu’ils partageaient le même appartement ; tout allait bien, elle était heureuse. Au fond de moi, j’étais content pour elle ; et si je faisais pareil ? Deux jours plus tard, alors qu’Aude et moi déjeunions ensemble au restaurant de l’hôtel, habituellement hardi je me surpris à lui demander timidement si elle voulait bien venir habiter avec moi. J’ai vu son visage s’illuminer. Je lui pris la main ; elle tremblait. Puis, après un long moment, elle me répondit : ...