1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (19)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... — Je veux bien essayer, mais je ne te garantis rien. Ne fais pas de plans sur la comète : je tiens à mon indépendance. Trois jours plus tard nous allâmes chercher ses affaires ; elle logeait dans une chambre chez l’habitant. Deux sacs chacun, et l’affaire était bouclée. Les semaines passèrent ; le temps fit son œuvre. Nous nous rapprochions de plus en plus ; je nageais dans un bonheur cotonneux. Au travail, nous avions acquis une complicité et une efficacité à toute épreuve ; le concierge de l’hôtel (le chef, en quelque sorte) s’en était aperçu et nous avait félicités. Un jour nous fûmes convoqués tous les deux chez le directeur, M. Philippe. En général, quand un employé est convoqué chez le directeur, ça sent mauvais... Fébriles, nous sommes montés, accompagnés par le concierge. Arrivés dans le bureau du directeur, il nous déclara : — Mademoiselle Aude et vous, Monsieur Jérôme, si je vous ai convoqués, c’est parce que monsieur Alain m’a parlé de vous. Il fit une pause en nous scrutant méticuleusement. Aude et moi nous sommes regardés, interrogatifs. Honnêtement, je n’étais pas tranquille ; j’avais les mains moites. Il reprit : — Tout d’abord, il semblerait que vous êtes en couple, ça se voit. Est-ce exact ? Là, pas question de mentir ! Nous avons donc avoué. — Bien. C’est une situation que je ne cautionne pas, car si l’un de vous part, je perds les deux. Mais... Il nous fit tout un discours sur les relations d’un couple vis à vis des clients, et blablabla... mais le côté ...
    ... positif, c’est que nous étions tous deux embauchés en CDI. Il nous fit miroiter une promotion si nous prenions des cours de langue (italien et russe pour commencer, et aux frais de l’hôtel) de façon à pouvoir dialoguer un minimum avec les clients, puis il nous congédia en nous souhaitant une bonne journée. Une bonne journée ? La meilleure de toutes, oui ! Avec Aude, nous étions remplis de joie, et en sortant du bureau nous nous sommes embrassés comme des fous. En passant devant un local de service (là où sont entreposés le linge de toilette et tout ce dont on a besoin pour refaire les chambres), elle passa son badge, ouvrit la porte et me tira à l’intérieur. — Viens, prends-moi, fais-moi l’amour, maintenant, fort, vite ! Elle avait déjà retiré son string, remonté sa jupe au-dessus de ses fesses et s’agrippa aux montants des étagères, courbée en deux, la vulve dégoulinante de désir. Je l’ai prise en baissant à peine mon pantalon. Je l’ai pilonnée, martelée, et elle a joui les dents serrées pour ne pas ameuter tout l’étage ; je la sentis vibrer au moment de l’orgasme que nous avons eu ensemble. Je l’ai inondée de sperme ; encore un long baiser, et nous nous sommes rajustés. Dans ce genre de local, il y a tout : savon, point d’eau, serviette, parfum aussi, puis nous sommes sortis. J’ai jeté la serviette dans le bac à linge d’un chariot de ménage ; la femme de chambre qui nous avait vus nous apostropha : — Hé, les jeunes, allez-y mollo ! Vous allez l’user ! — Pas de danger : il y a ...