1. Comment j'ai accepté de me soumettre à lui


    Datte: 23/10/2018, Catégories: fh, jardin, froid, hotel, caférestau, fsoumise, hdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral fdanus, sm, fouetfesse, confession,

    ... du parc désert. Il restait à distance de moi. J’aurais voulu qu’il m’embrasse ou au moins qu’il me prenne la main. Mais il n’osait pas. Ou ne voulait pas. Nous marchions comme de simples connaissances, pas comme des amants. Et soudain il m’a dit de sa voix si spéciale qu’il aimait bien les putes parce que les putes sont bonnes pour sucer les mecs. Et il m’a demandé si j’étais bonne pour sucer les mecs. Je suis restée pétrifiée, sans bouger comme une grenouille fascinée devant un serpent, et je lui ai répondu : — Jamais vous ne le saurez si vous ne me le demandez pas. C’est sorti de moi comme ça, sans que je réfléchisse, je ne sais pas ce qui m’a pris. Alors soudain, adossé contre un arbre, il m’a prise par la nuque, m’a obligée à m’accroupir, a ouvert son pantalon et m’a fourré sa queue dans la bouche. Il tenait fortement ma nuque avec sa main et j’avais vraiment l’impression qu’il me baisait la bouche. Il me disait que j’étais une vraie petite pute pendant que je le suçais. — Dis-moi que t’es une vraie petite pute ! Il desserra son étreinte et je lui dis : — Oui je suis une vraie petite pute. Et il me reprit par les cheveux pour m’obliger à le sucer encore. C’était presque brutal. Je ne pouvais pas faire autre chose que le laisser me prendre dans la bouche. Puis soudain, alors que je le suçais, il me déclara presque sur un ton philosophique qu’il y avait une grande différence entre une pute et une vraie jeune fille. Et il continua : — Les putes n’avalent jamais leurs ...
    ... clients. Les vraies jeunes filles avalent leur amant. Et toi, tu n’es pas une vraie pute ; tu es une vraie jeune fille. Je lui ai répondu que oui, dans le fond, je n’étais pas une pute. Il a joui presque aussitôt et je l’ai avalé. Mon corps tremblait. J’étais très choquée par ce que j’avais fait, comme ça, dehors. J’étais honteuse de moi-même. Je ne sais même pas si quelqu’un nous a regardés pendant que j’étais devant lui à le sucer. Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai accepté de me conduire de la sorte. Je me souviens que nous sommes retournés vers l’entrée du parc sans même échanger un mot. Il m’a accompagnée jusqu’au métro, puis nous nous sommes séparés. J’étais complètement fascinée par ce type. Il me faisait beaucoup d’effet, notamment parce qu’il était capable de m’imposer son désir. Et je ne comprends toujours pas pourquoi il parvenait ainsi à me soumettre à lui. Il avait un vocabulaire assez châtié et nous avions conservé le vouvoiement, mais il était capable soudainement de me tutoyer et de devenir très direct dans son expression. J’aimais quand il me disait de sa voix sonore que j’étais une vraie petite pute. Après la soirée mémorable dans le parc, il a pris soin de me téléphoner pour me dire à quel point il avait apprécié notre moment passé ensemble. Je ne savais trop que lui dire ; j’étais très gênée en fait. J’ai balbutié des choses dans le genre que ce n’était pas trop mon style de faire ce que j’avais fait et il m’a coupé : — Mais tu l’as fait ! Et il a changé de ...