1. Comment j'ai accepté de me soumettre à lui


    Datte: 23/10/2018, Catégories: fh, jardin, froid, hotel, caférestau, fsoumise, hdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral fdanus, sm, fouetfesse, confession,

    ... ton pour me dire que sous mes airs de jeune femme bien rangée, je n’étais qu’une salope. Et j’étais toute bête à rester au téléphone sans lui répondre, à l’écouter dire des horreurs à mon sujet. En fait ça m’excitait, et il le savait. Il m’a fait découvrir quelque chose que j’ignorais : j’aime bien (dans ce contexte très précis) me faire un peu malmener et insulter. Il m’a obligée à lui avouer par téléphone que, oui, j’avais aimé prendre sa queue dans la bouche ; que, oui, j’avais aimé le sucer. Quand il a raccroché, j’étais toute tremblante, bouleversée, émue et excitée à la fois. En fait, si j’écris tout cela, c’est aussi pour conserver un souvenir vivant de cette étrange liaison. Il m’a donné rendez-vous dans un grand hôtel où il avait réservé une chambre. Sur ses injonctions, j’avais revêtu une jupe serrée sans dessous, et il m’avait dit de me vêtir en haut d’un chemisier ou de quelque chose se boutonnant par le devant, sans soutien-gorge. Je suis montée directement au numéro de chambre qu’il m’avait donné. J’étais très tendue, inquiète et excitée à la fois. Il m’avait dit, sans doute pour m’humilier un peu plus, que les professionnelles rejoignaient ainsi leur client. J’ai donc frappé à la porte. Celle-ci s’est entrouverte et une main m’a tendu un cintre. Pas un mot. Puis la porte s’est refermée. Je me suis retrouvée toute bête dans le couloir de l’hôtel, un cintre à la main. J’ai regardé à droite et à gauche, laissé passer quelqu’un qui marchait en me dévisageant. Que ...
    ... faisait cette fille devant une porte, un cintre à la main ? Puis je me suis débarrassée de mon manteau, l’ai accroché au cintre et frappé de nouveau. Il a ouvert, pris le cintre avec le manteau, m’a tendu un autre cintre et refermé la porte. Cette fois-ci, j’étais abasourdie mais je comprenais très bien ce qu’il voulait : que je me déshabille dans le couloir et lui présente mes vêtements sur le cintre ! Alors j’ai fait ce que jamais j’aurais cru être capable de faire : j’ai déboutonné le chemisier, l’ai accroché en hâte au cintre et frappé de nouveau. Quelques secondes qui m’ont paru des heures, je me suis retrouvée les seins nus dans le couloir de l’hôtel. Je n’osais enlever la jupe quand même, mais je tremblais à l’idée qu’il l’exige… Il ouvrit la porte, me regarda, me fit entrer, referma. J’étais soulagée. Il me contempla et dit simplement : — Ta jupe. Et j’ai dégrafé ma jupe, sans réfléchir. Assez curieusement, j’avais eu tellement peur de devoir me déshabiller entièrement dans le couloir de l’hôtel que je me suis engouffrée dans sa chambre à moitié nue et ai dégrafé ma jupe sans aucune hésitation quand il me l’a demandé. Face à lui qui était en costume et cravate, je me retrouvais dans la tenue la plus simple. Mais je ne réalisai l’inconvenance de la situation qu’après plusieurs secondes. À peine étais-je entrée chez lui qu’il m’a présenté un collier en cuir muni d’une laisse. C’était évidemment le symbole de mon obéissance et de ma soumission. Nous en avions parlé par ...