1. Comment j'ai accepté de me soumettre à lui


    Datte: 23/10/2018, Catégories: fh, jardin, froid, hotel, caférestau, fsoumise, hdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral fdanus, sm, fouetfesse, confession,

    ... téléphone et j’étais prévenue. Il l’a passé autour de mon cou puis m’a demandé de me mettre à genoux, a tiré sur la laisse et m’a ainsi fait visiter la chambre à quatre pattes. J’étais terriblement excitée et amusée de me retrouver ainsi à ses pieds. Je le connaissais à peine et j’avais fait le pari de m’offrir à lui. J’étais gênée, mais j’espérais être désirable, même dans une situation pareille… Puis il s’est assis sur le sofa, toujours en costume cravate. Je trouvais le décalage de nos tenues particulièrement dégradant pour moi, mais en même temps, c’est ce décalage qui m’excitait au plus haut point. J’étais devenue une sorte d’objet de désir sexuel pur. J’avais renoncé en entrant chez lui à tout ce qui d’habitude faisait de moi un être humain à part entière, et j’adorais ça. Pourtant, c’était loin d’être ma nature dans la vie de tous les jours. Je me surprenais moi-même d’y prendre goût si facilement. Je m’étais imaginé que je ne supporterais même pas le collier s’il me le serrait au dernier cran alors qu’en réalité, j’avais tout accepté sans broncher… Il m’a fait venir à quatre pattes entre ses cuisses. Je me suis avancée vers lui et j’étais heureuse qu’il m’accueille au creux de son intimité. Il me tenait les seins et les pinçait : je me sentais comme une petite chatte ; la douleur était douce. Puis m’a fait lécher ses doigts, et là, je me suis sentie rougir. C’était assez humiliant de devoir le lécher ainsi. Mais j’imaginais que c’était un nouveau symbole de ma ...
    ... soumission. Puis il me déclara de sa voix chaude qu’il allait m’attacher les mains dans le dos avec la ceinture du peignoir de la salle de bain. Il me disposa sur la moquette de la chambre face contre le sol, les mains attachées dans le dos. Avec le collier autour du cou, je me sentais son esclave. Il s’est mis alors à me fesser doucement. Il me demanda si j’en voulais plus, alors je lui répondais que oui, et il me fessa plus fort. Je dois dire que j’aimais assez ça. En plus, j’avais envie de lui plaire. Il a ensuite saisi sa ceinture et il s’est mis à me fouetter. Ça faisait mal, mais j’ai accepté. Je voulais être obéissante. J’aime finalement être une esclave – quand il s’agit d’un jeu, bien sûr – parce que j’aime être dominée et jouer les filles coquines. Il me fouettait de plus en plus dur. J’étais à ma limite mais, en même temps, je voulais me surpasser ; alors je lui ai demandé de me fouetter plus fort. Ça a eu l’air de lui faire plaisir et il me susurrait à l’oreille que j’étais une vraie pute, une vraie salope. Et il me demandait de lui dire haut et fort que j’étais une vraie petite pute, une vraie petite salope. Et je répétai ces mots à plusieurs reprises. J’étais tout humiliée de lui dire des choses comme ça mais, en même temps, j’étais très excitée. Puis il s’est mis à me fesser avec ses deux mains, toujours au même endroit, sur les fesses et sur les cuisses… Ça faisait super mal mais j’ai quand même tenu le coup… et j’ai eu les fesses toutes marquées. Nous avons fait une ...