Randonnée sportive (1)
Datte: 23/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Ils sont partis de Merens, bien reposés, partis pour une longe randonnée dans les lieux peu fréquentés, sauf le premier jour, une longue montée, interminable, 1300 mètres de dénivelé, ça n’en finissait plus, ils ne sont pas allés jusqu’au bout de leur étape, le pierrier qui surplombe l’Etang Bleu est un signal, les pieds ne sont plus aussi fermes, les sacs qui commencent à peser rendent l’équilibre précaire… elle le regarde lorsqu’il s’arrête pour l’attendre… on pourrait peut-être bivouaquer quelque part…. Oui lui aussi, qui porte un sac bien rempli… il se poserait bien…. Petit coup d’œil sur la carte…. « Il y a un petit étang plus loin, … avec un peu de chance il y aura du terrain plat, pas beaucoup … on verra… c’est sur le sentier, il y aura du passage… enfin, pas tant que ça, il ne doit pas y avoir grand monde derrière nous…. il ne faut pas trop tirer sur nos forces le premier jour…. ». Le lendemain ils partirent assez tôt, pressés de commencer leur vraie balade, hors du sentier balisé. Ils profitent du refuge pour manger, boire, se reposer un peu et ils se lancent, descendre, pour remonter, à gauche le pic de la Coume d’Enfer… c’est plein de noms bien sentis… plus loin, sur la carte le Pic de l’Homme mort…. Ils vont bivouaquer du côté de l’Etang de Mirabail …. Il y a quelques centaines de mètres à prendre, de courts arrêts, pour boire, manger un peu, s’asseoir et se reposer un peu, et ça se fait, on surplombe la vallée et puis enfin ils décident de s’arrêter pour de bon : ...
... la fin de la journée. Une pelouse pas très large mais suffisante…. Poser son sac, regarder, la nature vide, tout à l’heure une marmotte a alerté ses copines comme ils approchaient de l‘étang, un grand coup de sifflet …. L’endroit est désert, Flo s’approche de lui, ils sont couverts de transpiration, il la respire… la cueille par les hanches, la tire vers lui, elle s’écrase contre lui, elle écrase ses seins et son ventre, pousse son pubis sur lui, sa bouche…. Elle est prise d’un désir qui lui incendie le ventre, elle lui murmure : « Montons la tente, vite ! » Il n’y a personne… ils se ruent dans la tente à peine montée, les sacs restent dehors, sans soin particulier… Il s’allonge sur elle, écrase son membre sur sa vulve, se frotte, se recule, et cherche la fente, la manque, sa queue glisse sur les lèvres, il regarde ces yeux mystérieux qu’il comprend rarement…. Mais il sait ce qu’il y lit quand enfin il la pénètre… l’abandon, elle l’émeut toujours dans ce regard, comme un lent mouvement d’abandon, elle veut qu’il la baise, se laisse baiser, se retire en elle-même pour en profiter, immergée dans son corps, roulant ses reins, ouvrant ses cuisses, pour le prendre, au fond, le sentir, dressé sur ses bras, il la laboure, lentement… pousse sa queue et commence un mouvement de percussion : han ! han ! han ! Brutal, il se laisse aller, renonce à tout contrôle, il la pilonne, violemment parfois et elle crie, elle aime, l’encourage… « Oh ! encore ! plus fort ! encore ! cogne ! encore ! ...