1. Randonnée sportive (1)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’initiative, mais elle s’abandonnait toujours, comme une confiance qu’elle distillait en se donnant et en autorisant toutes les possessions. Ça a commencé comme ça…. Et ils se sont vus toutes les semaines et tous les jours de chaque congé. Noël, Saint-Sylvestre… et leur activité principale a été de baiser, faire l’amour, inlassables, insatiables ! C’était il y a tout juste un an, et c’est pourquoi elle l’a suivi jusqu’ici. Refaire la randonnée dont il revenait. C’est une super rando, sportive, mais quel paysage !!! Après avoir regardé le ciel, la voie lactée dans toute sa splendeur dans la nuit sans lune, telle qu’on ne la voit presque jamais, ils sont rentrés dans tente, ils ont fêté l’anniversaire de leur rencontre… en répétant une nuit du même genre. Elle redevient timide dans l’obscurité, émue de sentir les mains de son compagnon défaire ses vêtements, les lui ôter, la caresser, explorer son corps, ses orifices, elle déteste ce mot, et il l’excite, il le murmure : « j’aime tes orifices, j’aime les explorer, te fouiller avec mes doigts, fouiller ton con…. » elle déteste ce mot, mais il lui fait l’amour, il la prend amoureusement, par tous ses orifices…. En elle-même elle lui donne sa bouche, son con, son cul… elle emploie les mots en son for intérieur, sans presque jamais les lui dire…. Elle les pense, les fantasme : « mets- la moi dans ma bouche… dans mon con… encule moi… please, encule moi… » elle s’essaie à les penser très fort pour qu’il les entende… pendant qu’il ...
    ... mordille les lèvres de son con, qu’il les suce à pleine bouche, elles sont épaisses… il mordille parfois son clitoris, il le suce et ses dents glissent… sa langue la fouille, il sait la mettre doucement sur le ventre pour finir, pour la prendre en la faisant se cambrer… « donne-moi ton con » il lui murmure de sa voix de sexe, et elle lui donne ce qu’il veut quand il veut, et elle le veut aussi, sans le dire sans même qu’il le sache…. Cette nuit là cependant elle le lui dit, après qu’elle a joui, comme il place sa queue sur le dernier orifice, le plus intime, elle le lui dit, ce qu’il aimerait entendre, pour une fois : « encule-moi, j’en ai envie, encule-moi ! » et quand il la prend par la porte de derrière, elle jette son cul vers lui, elle s’empale presque brutalement, sans précaution, il enfonce sa bite, entière, d’un coup, à la rencontre de ce cul qu’elle lance vers lui, il pousse ses reins et sa queue entre, jusqu’à la racine…. Presque douloureux, trop excitant, ils jouissent, il décharge…. Ils vont dormir jusqu’au matin…. Le silence les surprend, un silence feutré, avant de regarder il sait… le brouillard… bloqués…. Sans chemin, devant marcher de cairn en cairn, impossible de partir…. Il faut rester près de la tente, le brouillard est même si épais qu’il ne faut pas trop s’éloigner pour satisfaire un besoin naturel…. Cela provoque une situation inhabituelle…. Quand Flo veut aller uriner elle comprend qu’elle doit être prudente, sans réfléchir elle demande à Charles de la ...
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