1. Randonnée sportive (1)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... »… elle finit par crier sans rien dire, de touts ses poumons, hurlant son plaisir pour les isards et les mouflons… elle jette sa tête d’un côté, de l’autre… les bras en arrière les doigts crispés sur le tapis de sol, les jambes nouées derrière les reins de son mâle… son mâle qui vide ses couilles, en grognant, et en continuant ses percussions animales…. Avant de tomber sur sa poitrine, ils transpirent, et commencent aussitôt à sentir le froid, il l’embrasse et se précipite pour vider les sacs pour en retirer polaires et vestes…. Ils se rhabillent, elle remet sa culotte, met un jean qu’il lui tend, enfile les vêtements chauds…. 2250 mètres, un degré perdu par 100 mètres ou presque… le soleil se couche, la nuit tombe vite, l’ombre d’abord gagne…. et le froid vient très vite… il faut faire à manger, lyophilisé il y a de l’eau partout…. Manger chaud et énergétique. Le repas fini, rapidement car tout refroidit très vite, il fait un petit feu qui part bien avec quelques branches de sapin, cassées, sèches… ramassées ça et là tout autour, ils se serrent l’un contre l’autre… sans rien dire…, assis le dos contre un rocher. Ils regardent les flammes et pensent, chacun de son côté, se réchauffant du feu et du corps de l’autre. Voilà exactement un an qu’il l’a rencontrée, dans le train qui allait vers Toulouse, il revenait d’une randonnée solitaire, sur ce sentier de haute randonnée pyrénéenne…. Il l’avait remarquée tout de suite, jeune femme seule, jolie, pas tout à fait le canon de ...
    ... la belle plante, un peu trop sportive. Il n’y avait pas de place près d’elle, il avait mis son sac dans le coin réservé aux bagages, puis assis dans sa direction il écoutait de la musique. De temps en temps leurs regards se croisent. Toulouse, elle semble avoir du mal à descendre ses bagages, il propose son aide, elle l’accepte. Ils échanger quelques mots sur leurs intentions, il continue sur Paris, puis sa ville de province, elle aussi remonte sur Paris, elle y vit. Il change son billet pour prendre le même train, un peu plus tard…. Ils rentrent ensemble sur Paris. Ils se racontent leurs vacances, lui surtout, elle reste manifestement sur un souvenir désagréable…. Le train arrive tard, il a réservé une chambre à l’hôtel, n’en dit rien, … « J’ai faim, je mangerais bien un bœuf entier…. Je vous invite ? » Quand il a pris son coude pour la guider vers une table elle s’est sentie fondre, d’un coup, il s’en est rendu compte, à peine assis ils se sont regardés, de nouveau, comme pour établir un lien, ils ont presque entendu le déclic qui a établi le contact. Ils ont fait l’amour toute la nuit. Elle lui a tout donné, lentement ; il a tout conquis serait plus juste, à coup de mots murmurés, de caresses allusives, de dents acides, de doigts légers, d’ongles électriques, de petites douleurs contrôlées, de morsures légères, de tétons pincés, de tendresse émue, témoignant par le souci de son plaisir à elle sa reconnaissance à lui pour chaque abandon…, pas une seule fois elle n’a pris ...
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