1. Merci pour ce moment, jeune homme !


    Datte: 24/10/2018, Catégories: fh, fplusag, voisins, fépilée, amour, facial, Oral fdanus, fsodo, init, confession,

    ... compensé mes grossesses, et comme disait souvent mon mari « On te croquerait ! », lui qui croquait si peu ! Ma mère me comparait à Ava Gardner, morte cette année-là. Peut-être la bouche, en effet ? Mais peut-on croire une mère sur la beauté de ses enfants ? Hervé, donc ! La révélation est arrivée un soir de printemps. C’étaient les premières chaleurs. Les corps n’étaient pas encore habitués et tout le monde s’habillait léger. Hervé a frappé à la porte et est entré. Pierre absent, je lui ai proposé de l’attendre à la cuisine avec un verre de limonade. Il adorait la limonade, même à 20 ans ! Ou tout du moins me le laissait-il croire… On « papota », mais je sentis Hervé troublé, mal à l’aise. Je le surpris à jeter des regards furtifs sur mes jambes, et me rendis compte avec honte que ma jupe de lin s’était ouverte et dévoilait mes cuisses jusqu’à quasiment ma petite culotte. Je rabattis ma jupe quand Pierre entra à son tour dans l’appartement. La nuit, je repensai sans cesse à ce regard, et je me surpris à être flattée de susciter l’émoi chez un si beau garçon. Hervé, comme d’habitude, passait souvent, mais je le regardais maintenant différemment. Et je me rendis compte que lui aussi avait des regards moins « enfantins ». Il venait traîner à la cuisine ; parfois il me frôlait, sous prétexte de me proposer de l’aide pour ranger la vaisselle. Même quand Pierre était absent, il passait rendre un livre ou déposer un cours. Alors on parlait. Je ne me reconnaissais plus. J’attendais ...
    ... ses visites avec impatience. Je m’habillais plus court, je testais ma séduction. Mon mari n’avait jamais été tendre. Il était souvent en mission et il abusait parfois de l’alcool. Les sourires et les attentions d’Hervé me touchaient plus que cela n’aurait dû. Un jour, il me dit en rougissant que j’avais de belles jambes. Mes hormones me travaillaient. Certaines nuits, quand mon mari était en déplacement, la tension était tellement forte que, malgré la honte, je remontais ma nuisette jusqu’au nombril et, écartant largement mes cuisses, je me caressais en pensant à la peau douce d’Hervé et en imaginant son sexe dans ma bouche, un sexe fin mais long et sucré. ___________________________ Hervé est passé un chaud matin de mai, le 14 exactement. Il venait chercher Pierre, mais Pierre était déjà parti au lycée. J’étais seule, surprise, en nuisette, ma courte nuisette. Je n’avais pas encore eu le temps de prendre ma douche. Hervé ne disait rien, le rouge aux joues. Après un long silence, il me demanda s’il pouvait récupérer un bouquin dans la chambre de Pierre. Sans penser à mal, je le précédai dans l’escalier. Et je me rendis compte à la deuxième marche qu’il allait avoir une vue privilégiée sur mes fesses. À ce moment, j’aurais dû m’excuser, le laisser passer devant moi. Mais un petit diable m’habitait. Je continuai ma montée, lentement. Et me retournai brusquement. Il avait les yeux dans ses chaussettes, la tête baissée. Sa timidité m’émut. Je pris conscience qu’il était beau, mais ...
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