Merci pour ce moment, jeune homme !
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
fépilée,
amour,
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
init,
confession,
... certain sentiment d’interdit, ainsi qu’une véritable complicité, nous amenaient à multiplier les rencontres câlines. Les fois suivantes, qui furent nombreuses et jamais découvertes, j’agissais véritablement comme une initiatrice. Et lui comme un élève doué, imaginatif et très curieux. Il me demandait souvent de prendre des poses analysées dans des revues érotiques qu’il volait chez le marchand de journaux. Dans un autre contexte, cela m’aurait semblé d’un ridicule profond, mais je ne ressentais aucune humiliation ; je participais à ses jeux si peu innocents avec toute la candeur du monde. Il me faisait énormément rire. Il testait aussi beaucoup. Surtout ma souplesse et mon élasticité. Je me souviens très bien d’une fois où il m’avait mise à quatre pattes, le dos très cambré, les seins sur les draps. Avec mes deux mains, j’écartais mes fesses encore fermes, et lui essayait de faire coulisser dans ma chatte différents objets : légumes provenant du frigo ou bougies, et même un manche de tournevis. D’autres fois, Il testait aussi la capacité de dilatation de mon anus avec ses doigts. Et sans honte, je le laissais faire. Mon anus le fascinait ! Ou comme il le disait en riant aux éclats, « Ce trou noir est troublant ! » Et je m’abandonnais à ses fantasmes de découvreur deterræ incognitæ. Il m’a goûtée partout, m’a pénétrée partout. Avec lui, j’ai eu mon premier orgasme anal. Mon mari s’y était essayé plus d’une fois, mais toujours avec brutalité et un langage d’une vulgarité qui ...
... me choquait. Hervé, lui, était un ange, un bel ange sexué et gentiment pervers. Avec le recul, je cherche encore ce qui m’a jeté dans ses bras avec autant de folie ! La faiblesse de mon sentiment maternel, sûrement. Mais aussi la bestialité rustique de mon mari, la beauté de mon doux amant, la proximité d’Hervé avec mon fils Pierre, la préciosité et l’arrogance de ses parents, mon appétit pour l’acte sexuel, l’ennui, me rassurer sur ma capacité de séduction ? Je ne sais pas ; sûrement un peu de chaque chose. ___________________________ Je me souviens bien de notre centième jour. C’était un samedi ; Pierre était parti à la plage avec son père et ses sœurs. J’avais prétexté un mal de crâne pour rester seule. Hervé m’avait prévenue qu’il était seul chez lui. Nous étions convenus de nous voir chez lui. Pour la première fois, j’allais entrer dans son univers. Il était allongé sur son lit, en caleçon. Je lui annonçai que pour fêter cet anniversaire, je le sucerais dix fois dans la journée. Il pourrait jouir tant qu’il voudrait. J’avais dit cela sans réfléchir ! Nous avions appelé cet anniversaire « la journée de la pipe » en rigolant comme des adolescents. Il était aux anges, le bel ange. Il jouait à l’endormi. Je m’agenouillai sur le lit et fis gonfler son sublime membre dans ma bouche. D’une main baladeuse, il me tripota la chatte sous mon slip. Puis je ne bougeai plus, n’aspirant plus. Nous sommeillâmes ainsi quelques minutes, ma tête sur son ventre. Son sexe dégonfla dans ma ...