Merci pour ce moment, jeune homme !
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
fépilée,
amour,
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
init,
confession,
... bouche. Il tint à me préparer le petit déjeuner, et partit à la cuisine. Je le retrouvai assis. Je me mis à genoux, sous la table, devant lui et gobai à nouveau sa belle bite. Il eut bel appétit. Je le pompais vaillamment au bruit des biscottes. Nous allâmes à la salle de bain et prîmes la douche ensemble. Nue, accroupie à ses pieds, les cuisses largement ouvertes, comme il aimait à me voir, je le suçai comme une possédée, malaxant ses couilles, et il se vida pour la première fois de la journée dans ma gorge. Nous nous douchâmes, touchâmes, bouchâmes longtemps. La journée commençait bien. Il m’indiqua les toilettes pour un petit pipi. Je gardai la porte ouverte ; il s’approcha. Ma miction l’excita, et lentement il se branla sans pudeur devant moi. Je l’attrapai par la queue et pour la quatrième fois de la journée et le gratifiai d’une fellation experte. Je rentrai discrètement chez moi. Il me rejoint une heure plus tard, pour le déjeuner. Nous nous dévêtîmes et nous excitâmes mutuellement. Je fis couler de la crème sur mes seins qu’il lécha ; j’utilisai sa queue comme cuillère pour manger mon yaourt vanille. Et de cinq ! Après le café que je pris seule car il n’aimait pas le goût, on s’allongea sur le canapé devant la télé, ma tête sur son ventre musclé. Il y avait la fin d’un match de foot. Notre jeu : à chaque but, je devais le sucer. Nous n’eûmes pas de chance : un seul but à la quatre-vingt-neuvième minute. Je décidai donc de le sucer à fond. Il ne se fit pas prier et ...
... j’avalai la deuxième ration de son doux nectar. Bien qu’insatiable, j’avais quelques obligations logistiques, et je dus faire quelques courses pour le repas familial du dimanche. Assis à ma droite dans ma voiture, il profita de la conduite pour me tripoter l’entrejambe. À sa demande, je n’avais pas mis de culotte ; ses caresses et les souvenirs de mes nombreuses gâteries me firent mouiller en abondance. Je le laissai sur la route, à un magasin de sports, et fis mes courses. Au retour, ma tension sexuelle était trop forte. Je récupérai Hervé, pris un autre itinéraire qui s’éloignait de la ville. Au premier chemin vide, j’arrêtai la voiture. Il avait sorti sa bite et se masturbait doucement. Je le suçai avec violence et lui demandai de me prendre sur le capot. Le petit salaud me retourna, remonta ma jupe en jean, prit un peu de mouille de ma chatte inondée et l’appliqua sur ma rondelle. Il m’encula directement, sans plus de préparation, et je jouis en quelques secondes. Je me retournai, et sans penser à l’endroit d’où venait sa queue, je la remis dans ma bouche et l’aspirai jusqu’à ce qu’il me lâche quelques giclées de sperme dans la gorge. Et de sept ! J’étais épuisée, vidée, remplie, repue. Heureusement, la voiture connaissait le chemin de la maison toute seule. Et une question me taraudait : comment arriver à 10 ? Les courses rangées, fatiguée, je m’allongeai sur le dos en travers du lit de ma chambre. Ma tête dépassait et tombait dans le vide. Hervé profita de la situation ...