51.7 Le réveil d’un bobrun en pétard
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... ses pompes… le radioréveil indique tout juste 8h06, alors qu’on a dû éteindre les ardeurs aux alentours de 6 heures… le manque de sommeil, l’excès de fumette ainsi que les efforts sexuels répétés… même le physique d’un jeune mâle robuste comme lui finit par accuser le coup… A la lumière du jour, la nudité du bomécano est magnifique… ce torse velu me fait toujours autant d’effet… envie de tout lécher, de caresser, d’exciter, de le sentir contre moi… et cette queue mi molle qui semblerait prête à repartir dans une belle trique du matin pour peu qu’on s’intéresserait à son cas… Ce n’est évidemment pas l’envie qui me manque… mais ce n’est plus le moment… cette nuit de folie est terminée, il va falloir se ressaisir, il va falloir partir, sans tarder… Tout ce que je peux faire c’est de profiter de ces derniers instants pour reluquer cette plastique parfaite, cette nudité ensorcelante… essayer d’imprimer dans ma rétine et ma mémoire l’image de cette œuvre d’art éphémère qu’est le physique d’un garçon dans la pleine force de sa jeunesse… Sa position me permet de voir à la fois son beau cul, que j’ai très envie de toucher et de lécher… ainsi que sa « demi molle » du matin… que j’ai très envie de toucher et de lécher… Le bogoss porte une main sur son service trois pièces, le cachant complètement à ma vue… ses doigts semblent remuer autour du paquet, comme si ça le démangeait… sa main ne s’attarde que pendant une poignée de secondes… pourtant, lorsqu’elle se retire, j’ai la surprise ...
... de voir que sa timide « demi molle » s’est soudainement métamorphosée en une prometteuse « demi dure »… Et alors que le bomécano attaque les opérations de rhabillage, son bel engin semble se rebeller face à son sort imminent, celui d’être renfermé dans une double prison de coton… ainsi, lorsque le tissu élastique du boxer vient se glisser dessus, sa « demi dure » a déjà évolué en une « bien ferme »… Torse de fou, boxer rebondi, élastique marquant le début de ce chemin de bonheur qui remonte vers ses abdos… un bogoss juste habillé de son boxer, c’est beau à en pleurer… Et alors que sa jolie queue disparaît de ma vue, une bosse conséquente éveille un désir inattendu… ce n’est pas dans l’ordre des choses de remballer les cadeaux… surtout de si beaux cadeaux… Quel dommage de gâcher ça… Le bomécano se penche pour ramasser ses autres vêtements… d’un geste rapide et bien rodé, un geste de bogoss, il passe son t-shirt… lorsque ses doigts ont terminé de l’ajuster sur son torse, le coton marron tombe parfaitement sur ses épaules, moule ses biceps bien ronds comme une seconde peau et l’inscription verte « Kaporal Jeans Co. » s’étale à hauteur de ses pecs… Moi je dis qu’un bogoss juste habillé de son boxer bien rempli et de son t-shirt qui semble coupé sur mesure, c’est beau à se taper la tête contre le mur… Le bomécano enfile son short… mais la bosse reste visible même derrière cette deuxième couche de coton… ses doigts ont quelque difficulté à boutonner la braguette… Rien de tel que le ...