La « Lancenoir » (2)
Datte: 27/10/2018,
Catégories:
Hétéro
... Amadou colla sa bouche contre la sienne. Il l’embrassa profondément. Ses mains passèrent sous son chemisier, et remontèrent vite jusqu’à son soutien-gorge. Les doigts d’Amadou la faisaient frissonner. Elle les sentit passer dans son dos, lui détacher l’attache du soutien-gorge en une fraction de seconde. Il commença alors à lui peloter les seins. Ses grosses mains agrippaient ses nichons, il les pressait, les manipulait comme un boucher soupèserait de la viande. Il finit par commenter : « Pas mal, on ne dirait pas comme ça, mais tu ferais une bonne pouliche » jyjttcg Il lui agrippa l’arrière de la tête et fis entrer sa langue dans ma bouche. Elle était contre lui, se sentant fébrile face à son corps musculeux. Il recommença à la peloter. Léa ne faisait rien pour l’en empêcher. Il continua à s’amuser avec ses nichons, mais finit par s’en lasser. Il passa alors une main sous sa jupe touchant sa culotte, Léa frémit d’impatience... Elle sentit qu’elle devait agir, ne pas le laisser seul maître de la situation. Elle commença à lui enlever son tee-shirt. il la laissa faire. Elle tâta ses pectoraux, passant et repassant sa main dessus, impressionnée par leurs duretés. Dans ce lieu mal éclairé si ce n’est par de fins rais de lumières passant à travers les briques, elle ne voyait par la peau d’un noir profond d’Amadou. Seulement le blanc de ses yeux. Elle sentait et touchait son corps, et il n’en était que plus imposant. Amadou, lui, voyait bien la peau laiteuse de Léa, et il se ...
... délectait à l’avance de jouir de sa proie. Après l’avoir bien paluché, il lui enfonça un doigt dans l’abricot juteux, il lui sembla bien mûr et décida qu’il était temps pour lui d’inverser les choses : « Baisse-toi, retire mon jogging » souffla-t-il à l’oreille de Léa. Léa se baissa impatiente de voir le sujet de ses interrogations. Elle lui retira son jogging, elle toucha alors à son caleçon ; il était bourré à craquer. Elle y toucha prudemment, ayant peur que le contenu ne lui explose à la gueule. « Allez, ouvre le paquet maintenant, lui intima Amadou. » Aussitôt toujours les jambes pliées, le visage près du sous-vêtement elle descendit le slip. Ce fut un jaillissement. Comme un diable-dans-la-boîte ! Le gourdin se déplia instantanément et lui cogna la tête, la faisant chuter par terre. « Touche-moi ça. C’est du matos de compétition. » Il faisait trop noir pour qu’elle évalue la taille de l’engin. Elle se rapprocha, toucha le sexe, essayant de se faire une idée de ses proportions. Mais dans le noir aucune estimation ne lui fut possible, le chibre lui semblait tout simplement interminable ! Elle se demanda avec inquiétude si ce morceau allait pouvoir entrer en elle. Car face à ce monstre, elle se sentit réduite à peu de chose. Et dire qu’il devait avoir cette bite bandée depuis plusieurs heures, déjà prêt à la baiser. Elle se sentait si frêle d’un coup. Amadou n’avait plus aucun habit sur lui. Fier de lui, il la laissait s’ébahir devant sa masculinité dressée. Léa, elle, ...