1. La « Lancenoir » (2)


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... hésitait. Elle était encore excitée, voir même plus, mais elle se sentait aussi comme une proie. Elle savait qu’il s’agissait du dernier moment où elle pouvait encore fuir. Après ça… Même si tout revenait comme avant, elle aurait toujours l’impression d’avoir été soumise, matée par la puissance sexuelle d’Amadou. Ça l’excitait plus que ça ne l’inquiétait, elle avait envie d’être sous le joug de cet homme à l’ahurissante virilité. Ce dernier n’avait aucun doute, il voyait le regard apeuré de Léa, mais il savait qu’il allait la baisser. C’était inéluctable, il y avait des loups et des brebis, il allait être temps de prendre possession de son dû. Depuis qu’il avait reçu le mot de Léa qu’elle lui avait envoyé par erreur, il s’amusait avec elle comme un chat avec sa souris. Et il savait comment cette histoire allait finir, il allait se faire un plaisir de défoncer cette petite bourgeoise coincée, la mettre à genoux, et la faire supplier et puis... il s’amusa à la pensée qu’elle n’avait encore aucune idée de ce qu’il allait lui faire par la suite... « Mets-toi à poil !» Comme si elle n’attendait que cet ordre pour se mettre en mouvement, elle obéit, déboutonnant sa chemise. Dans l’obscurité elle avait l’impression qu’il n’y avait personne, tant la peau d’Amadou était trop sombre. Et pourtant elle était excitée sachant qu’un homme la voyait toute nue. « Plus vite que ça ! T’es là pour baiser, pas pour un strip-tease » Elle s’exécuta, faisant vite tomber ses vêtements les uns après ...
    ... les autres. Ce n’est qu’après avoir retiré sa culotte qu’elle sentit une main se poser sur elle, prouvant qu’elle n’était pas seule dans l’obscurité. Un homme était là, avec elle… et elle allait se faire tringler. Il la souleva par les hanches comme si elle n’était qu’un ballon gonflable. Et il positionna, son gland contre l’entrée de sa chatte. Léa était tellement mouillée qu’il entra facilement, comme si elle était huilée. Mais entrer était l’étape la plus simple, il allait maintenant devoir la pénétrer de tout son membre, et ça, ça demandait du travail... Amadou commença à la laisser tomber progressivement sur son sexe. Les parois du con de Léa frottant contre la branche d’acier d’Amadou et la faisaient gémir. À chaque fois qu’Amadou relâchait son étreinte, Léa sentait le mandrin s’enfoncer de plus en plus profondément en elle. Elle se sentait devenir un complément à la gigantesque bite qui la pourfendait, comme si sa chatte n’avait été conçue que pour l’accueillir. Au départ, elle se contenta de geindre à l’entrée du colossal phallus dans son intimité, mais lorsqu’il l’eut enfoncé sur la moitié de sa bite en elle ne pouvait plus que couiner comme une souris prise au piège. La douleur se mélangeant au plaisir à mesure que la bite la perforait de part en part. Lorsqu’Amadou arrêta de la laisser glisser contre son piston, elle prit conscience que sa chatte ne pouvait faire entrer plus du membre turgescent en elle. Mais cela ne gêna pas Amadou, il avait l’habitude. Il commença ...
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