1. La « Lancenoir » (2)


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... à soulever Léa le long de sa bite avant de la laisser retomber. À chaque fois sa chatte se faisait défoncer par le coup de boutoir, et la bite pouvait s’enfoncer un peu plus en elle. Léa avait la sensation d’être à un manège, propulsée dans les airs avant de retomber. Sauf que durant tout le mouvement elle sentait sa boîte-à-mouille s’électriser. Elle en avait les yeux révulsés de bonheur… jusqu’au moment où elle s’écrasait, le fond de sa chatte contre la verge d’acier. Alors, elle criait. Elle était foudroyée, mais ce n’était pas un éclair qui la traversait. Non, elle se faisait défoncer purement et simplement. Après avoir été fracturer une demi-douzaine de fois de plus sur le chibre, Léa put prononcer ses premiers mots en haletant : « Putain, ohhhh, comment elle peut être aussi grosse…? OHHHH ! je crois que je vais mourir ! — C’est une bite de noir ma jolie. » Et sans lui laisser le temps de rajouter quoi que ce soit d’autre, il la baisa à nouveau. Léa comme pour éviter de s’empaler complètement s’agrippait instinctivement au dos d’Amadou, sa poitrine frottant contre son torse musclé, elle était en nage. Sa chatte avait des spasmes incontrôlables, elle eut un orgasme au cours d’une pénétration. Mais quelques secondes après, elle sentait qu’elle n’allait pas tarder à en avoir un second. Son corps n’était plus qu’une chiffe molle qui montait et descendait, elle mouillait tellement que l’on entendait de la cyprine tombée au sol. Amadou lui-même commençait à ne plus pouvoir se ...
    ... contenir, il sentait que sa bite avait besoin de lacher la purée, les parois du con de Léa pressuraient sa bite, il arrêta ses mouvements un moment. « J’ai jamais baisé une chatte aussi étroite, j’ai du mal à croire que t’étais pas pucelle. » Devant l’arrêt du marteau-piqueur, Léa fut comme en manque. Le sexe d’Amadou lui emplissait la foufoune, mais le manque de mouvement rendait cette occupation douloureuse, elle avait besoin qu’il la pistonne. « Qu’est-ce que tu attends ! Baise-moi ! — Ah oui, tu aimes ça la bite ? — Oui oui ! JE t’en prie, fourre-moi viiiittte ! Je veux ta bite, ta belle bite noire !! — C’est que je suis fatigué. — Non ! j’en veux encore ! Active-toi sale nèg… dépêche-toi ! — Tu veux que le sauvage te saute, hein ? — Remue ta queue ! Vite !» Amadou commença à la remonter le long de sa bite, alors que Léa commençait à perdre le contrôle de ses paroles « Vas-y ! Mais vas-y sale sauvage ! Baise-moi !» Il lui donna alors un coup de bite fulgurant tout en la laissant chuter le long de sa bite. Ses couilles touchèrent les fesses de Léa… son énorme manche tout entier était entré ! Léa cria comme une damnée sous le choc. Elle serra Amadou de ses frêles bras comme si sa vie en dépendait. Elle sentit alors le sperme entré en elle… elle se sentit gonfler, le flot ne semblait pas s’arrêter, comme si un tuyau d’arrosage lui était collé dans la fente. Finalement Amadou commença à retirer sa bite. Léa avait l’impression d’être une bouteille qu’on débouchait. Puis elle ...
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