1. Nicole, prête à tout (10)


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Transexuels

    10. Le réveillon de Noël arriva sans que l’on passe à l’acte. Pour l’occasion, Isabelle me donna une robe noire toute en dentelle et une paire d’escarpins vernis aux talons aiguille très hauts et une bride autour de la cheville. Je la passais par-dessus un ensemble de lingerie noire en dentelle aussi et des bas couleur chair et à la couture noire. Je me trouvai irrésistible et je dus me masturber pour faire retomber l’excitation. Lorsque je me présentai au salon, Isabelle était sublime dans un tailleur pantalon juste passé sur la guêpière que je lui avais offerte. Sa fille n’avait rien à lui envier dans sa robe de mousseline, toute en transparence, qui ne cachait rien de ses dessous chics. Pas de jarretelles mais des bas autofixants. Quant à Charlène, elle portait un tailleur jupe gris et un chemisier rouge, et bien sur des escarpins d’une hauteur indécente. Et des bas couture noirs. Les deux seuls vrais hommes, Igor et Jean-François portait un smoking et nœud papillon. Le repas avait été livré par un traiteur et servit par moi-même aidé d’Igor. Le réveillon se déroula dans une ambiance bon-enfant. Et vu les tenues de chacun, je me laissais à imaginer une partouze d’anthologie. La seule ombre au tableau étant les jumeaux car je ne les voyais mal faire l’amour avec leurs parents. Ils étaient certainement très ouverts d’esprit, mais pas à ce point-là. Minuit passé, Isabelle se leva pour la distribution de cadeau. Tout le monde eut son paquet sauf moi qui en eut deux. — je ...
    ... suis désolée, dis-je, je n’ai rien prévu pour vous. Isabelle me regarda avec un air surpris. — pourquoi veux-tu prévoir quelque chose. Le Père Noël est passé. Et on a chacun notre cadeau. Elle dit ça sur un ton digne d’un enfant de sept ans qui croit encore dur comme fer au bonhomme rouge. Je déballai religieusement mes paquets. Le plus petit contenait le dernier né des IPhone et le plus grand contenait un ordinateur portable de la marque à la pomme. — je ne sais quoi dire, dis-je émerveillée, touchée — alors ne dit rien. Tout le monde déballa son cadeau. Une paire de Louboutin pour Charlène, un coffret cadeau pour un séjour en thalasso pour Isabelle, des vêtements pour les jumeaux. Mais le cadeau plus étonnant fuit celui d’Igor. Lorsqu’il ouvrit, je vis couler une larme sur sa joue, une larme d’émotion. — un Desert Eagle, un 50 A.E en plus ! Igor sortit de sa boite l’objet qui a ses yeux tenait du Saint Graal. Sauf que ça n’avait rien à voir avec la coupe biblique. C’en était même aux antipodes. Igor exhiba un révolver énorme qui semblait être fait pour ses grosses paluches. Devant mon air effaré, Jeff me souffla à l’oreille qu’Igor était un collectionneur d’arme à feu. Ceci expliquait donc cela. La soirée se poursuivit. Je n’en sus pas plus que la passion du balafré. Puis tout le monde alla se coucher dans sa chambre. Mon rêve de partouze s’envolait. Le jour de Noël, je me retrouvai seule dans la maison. Igor était dans sa famille, et mes patrons déjeunaient chez les parents ...
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