Nicole, prête à tout (10)
Datte: 27/10/2018,
Catégories:
Transexuels
... d’Isabelle. Je décidai de me pencher sur la garde-robe de Charlène et sa collection de chaussures. Isabelle m’avait montré leur dressing. Elle ne m’avait jamais interdit explicitement d’y venir. Mais d’un autre coté rien ne m’incitait à y venir. La moitié était celle d’Isabelle, l’autre celle de Charlène et Jean-Charles, cette dernière étant réduit au minimum. Je compris que Jean-Charles n’existait que dans le monde professionnel. En dehors, il n’y avait que Charlène. Je pris un plaisir immense à essayer les chaussures de Charlène. Je remarquai que toutes étaient à talons très hauts, souvent avec des plateformes. Je passai la journée avec l’une d’elles, sans me rendre compte que je les avais toujours aux pieds lorsque la famille rentra le soir. — tu es bien dedans ? me demanda Charlène. — oui, avoué-je, penaude. — tant mieux ! Tu peux te servir dans mon dressing si tu veux. Je n’y vois pas d’inconvénient. — merci Charlène, dis-je rassurée. — mais ça mérites quand même une punition, dit Isabelle. Tu t’es servie sans demander la permission. — je comprends, dis-je faussement embarrassée. C’est mérité. Les jumeaux échangèrent un sourire complice et montèrent au dernier étage qui leur était réservé avec deux chambres et une salle de bains. Charlène me prit par l’oreille et m’entraina vers le fond du couloir qui se terminait par une porte en bois que je n’avais jamais vu car cachée derrière un lourd rideau rouge foncé. Isabelle glissa sa main dans une poche cousue au revers du ...
... rideau pour y prendre la clé de la porte. Lorsque j’entrai dans la pièce, une odeur de bois, de pierre et de cuir mélangé envahit mes narines. Lorsque la lumière tamisée éclaira la pièce, je découvris des canapés en cuir, un buffet en vieux bois et différents … je ne savais même comment ça s’appelait. Il y avait une croix faite de deux poutre croisées, une table avec des extensions comme des étriers, une espèce de carcan, et une machine avec une gode fixé au bout d’une tige en fer. Sur le buffet, différents godes mais aussi des fouets, des martinets, etc. Je compris enfin : une pièce dédiée à des pratiques de SM. — tu pensais mériter ta punition ? Tu ne crois pas si bien dire, annonça Isabelle en fermant la porte. Et puis tu peux crier autant que tu veux, personne ne t’entendra. Charlène me posa un bandeau sur les yeux et m’attacha face à la croix. Ce ne fut ensuite que coups de fouets, de martinets, fessés. Puis je sentis qu’on s’introduisait en moi sans savoir si c’était Charlène ou Isabelle. — regarde cette petite pute, regarde comme elle se fait bien enculer. Ça rentre tout seul, comme dans du beurre. Je parie qu’elle peut prendre plus gros encore. Je compris que c’était Isabelle. Puis je les entendis chuchoter — excellente idée ma chérie. On me détacha. On m’allongea sur Isabelle qui investit sans problème mon petit trou bien ouvert. Puis je sentis Charlène nous enjamber et sa queue se frayer un passage. Elle n’eut pas vraiment de problème pour entrer et je me retrouvai avec ...