Nicole, prête à tout (10)
Datte: 27/10/2018,
Catégories:
Transexuels
... deux queues en moi. — quelle salope, grogna Charlène, un vrai garage à bites ! Le couple s’activa. Charlène finit par jouir en moi. Isabelle me demanda ensuite de la faire jouir mais avec l’interdiction absolue de ne pas jouir avant elle. J’eus toutes les peines du monde à remplir le contrat. Mais je trouvai l’astuce en demandant à changer de position chaque fois que je sentais l’inéluctable arriver. Charlène en profitait, à chaque fois qu’elle le pouvait pour s’introduire en moi. Isabelle finit par jouir enfin et réclama entre deux cris que l’on jouisse sur elle. Charlène et moi lui présentons nos deux bites qu’elle suça pendant j’embrassai ma consœur à pleine bouche. On éjacula ensemble. Isabelle reçut notre sperme dans sa bouche, du moins une partie. Le reste maculant son visage que l’on s’empressa de lécher. Il n’était même pas envisageable de lasser perdre ce nectar. Nous nous masturbâmes mutuellement, tantôt suçant une queue, tantôt léchant le minou d’Isabelle. Nous retrouvâmes notre vigueur et nous primes Isabelle ensemble soit dans chacun des trous, soit dans le même. Encore une fois, nous donnâmes notre jus à boire à notre partenaire. — whaaah, dit-elle, enfin rassasiée. Dodo maintenant. Le lendemain, je trouvai un mot sur ma table de nuit. « La punition d’hier soir était trop gentille et tu y as pris trop de plaisir. Pour la semaine à venir, tu devras mettre exclusivement les escarpins qui sont au pied du lit. Tu n’auras le droit de les enlever que pour aller ...
... dormir. Bisous. Isa. » Je regardai à l’endroit indiqué et je découvris une paire de talons vertigineux. Je m’empressai de les mesurer : seize centimètres dont quatre de plateau. Moi qui aimais les talons hauts, j’étais servie. Les premiers pas furent catastrophiques et je manquai plusieurs fois de me tordre les chevilles. Et je ne parle même pas de la descente des escaliers. Mais au fil des heures, je domptai les monstres. Je n’allais pas faire un sprint avec, mais j’étais plus à l’aise. Soudain, Rosette fit son apparition dans le salon. — est-ce que quelqu’un peut aller chercher du pain. La fournée n’était pas prête quand je suis passée. — Nicole va y aller, trancha Isabelle en me regardant avec un sourire en coin. Autant dire que le trajet prit un certain temps. Au retour, je m’affalai dans le fauteuil, les pieds en compote. La semaine me parut interminable. Les pieds, les chevilles, les genoux me faisaient affreusement souffrir. Un truc à vous dégouter complètement des escarpins. Je remis mon jean slim et mes ballerines. Même ainsi, je me trouvai particulièrement féminine, voire sexy. Isabelle m’accueillit avec un sourire et une moquerie gentille sur ma tenue et mes chaussures plates. Raillerie à laquelle je répondis par un haussement d’épaules. Je passai le réveillon du Nouvel An toute seule. Charlène et les enfants chez les parents d’Isabelle, Igor dans sa famille qui habitait au Cap-Ferret. Cela me fit tout drôle d’être seule dans cette grande maison, sans aucun bruit. Mais ...