1. Une soirée de charité ...


    Datte: 28/10/2018, Catégories: fh, hagé, extracon, cocus, Collègues / Travail fête, fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, fsodo, init,

    ... va-et-vient qui la font ahaner de plaisir. Elle mord son bras pour ne pas hurler. Ses mouvements s’accélèrent, puis ralentissent. Pierre, avec douceur, s’extrait du chaud fourreau pour tenter de s’introduire dans la petite rondelle serrée de Maria Francesca. Entraînée par son plaisir, Maria Francesca sent le gland glisser vers son anus et tend les fesses pour aider au positionnement de son amant de passage. Oui, elle a envie de le sentir la pénétrer là ! Mais en même temps, elle a peur… Jamais elle n’a accepté que son petit trou soit violé. Pourtant, là, appuyée contre ce mur, le ventre tremblant de désir, la chatte trempée de jouissance, les seins lourds de plaisir, elle a envie de sentir ses fesses écartées, écartelées. Elle veut sentir cette bite lui percer le cul ! Elle se dit qu’elle devient folle… que si son mari la surprenait ainsi… lui qui ne rêve que de ça… Et son anus s’ouvre doucement sous la pression du gland qui se glisse et s’immisce en elle. Elle n’a pas mal, non, cette dilatation l’excite… et son cul s’ouvre de plus en plus largement, permettant à Pierre d’aller loin. Elle sent le sexe l’envahir, marquer un temps d’arrêt, puis entamer un lent et profond va-et-vient qui fait que le terrible engin qui lui déchire l’anus bute contre son ventre et lui arrache les premiers gémissements de plaisir. Et le mouvement s’accélère. Pierre, massé par l’anneau, sent sa jouissance monter de plus en plus fortement. Pour parfaire le bonheur de sa partenaire d’un moment, il ...
    ... lui empoigne les seins et en tord les mamelons, les maltraite, ce qui avive son excitation. Et ensemble, ils jouissent longuement. Pierre se répand dans le boyau de Maria Francesca qui sent le liquide chaud envahir ses fesses, lubrifie encore plus son cul et excite encore plus sa jouissance, décuplée par le traitement infligé à sa poitrine. Elle a envie de hurler. Elle continue à mordre son bras tellement c’est bon… Et dans sa tête elle se dit que "Mon Dieu que c’est bon de se faire prendre comme une chienne, de se faire enculer, de se conduire comme une salope". Complètement hagarde, elle se dit aussi qu’elle est folle… folle du cul… Soufflante, ahanante, les cheveux en bataille, le cul en feu et baveux, Maria Francesca se laisse glisser à terre, dès que Pierre se fait éjecter par les derniers spasmes musculaires… En silence, il ramasse la robe qui traîne par terre et la tend à Maria Francesca. Elle s’en empare dans un geste de lassitude… Oui, c’est vrai, il faut qu’elle s’habille et reparte là-bas, au milieu de la foule, rejoindre son mari… pourvu qu’il ne se soit aperçu de rien, pourvu qu’il ne voie rien ! Pierre, galamment l’aide à se redresser. Les jambes flageolantes, elle arrive à remettre sa robe. Elle lisse ses cheveux dans le miroir tandis que Pierre se rajuste et reprend sa figure grave de maître d’hôtel stylé. Maria Francesca cligne des yeux devant la violence des lumières qui illuminent la foule. Une foule qui continue à déambuler à travers le grand salon et ...
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