Une soirée de charité ...
Datte: 28/10/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
fête,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
fsodo,
init,
... s’amasse devant le buffet, en une masse de plus en plus compacte. Soudain, elle sursaute et se retourne à un contact d’une main sur son épaule nue. — Ah ! Te voilà… Mais où étais-tu passée ? Cela fait un quart d’heure que je te cherche…— J’ai du résoudre un petit problème… répond-t-elle d’une voix blanche à son mari qui la serre par derrière et lui murmure à l’oreille.— Viens, il faut que je te présente au Président, il meurt d’envie de faire ta connaissance… Dans un grand soupir de résignation, Maria Francesca suit son mari qui fend les groupes et se dirige vers un salon où règne au moins le calme. Au milieu, planté sur un grand tapis d’Orient, un homme de près de soixante-quinze printemps, la tête à moitié chauve, les yeux cernés et la figure marquée de nombreuses rides, les mains presque diaphanes, serrées l’une contre l’autre, le costume gris strict, les attend. Avec un grand sourire et un regard qui s’illumine à leur entrée, il fait un pas en avant. — Et bien mon cher Dominique, vous en avez mis du temps pour retrouver votre femme !— Heu !… Désolé Président…— Ce n’est pas grave… L’important c’est qu’elle soit là en chair et en forme… glaviotte le vieux qui ne cesse de détailler Maria Francesca. Elle est toujours un peu intimidée devant les hommes de pouvoir, surtout quand ils sont âgés et patrons de son époux. Il est vrai aussi que rares sont les occasions qui lui sont données de les fréquenter. Généralement, Dominique ne l’emmène pas dans ces soirées, car elle n’aime ...
... pas beaucoup fréquenter les collègues de son mari. Mais ce soir, il a beaucoup insisté, lui expliquant que cette soirée était différente, parce que c’était une soirée de charité organisée pour bâtir une école pour jeunes filles dans un coin reculé de l’Afrique. Cela devrait permettre d’éduquer des filles et ensuite de leur offrir une place dans une des filiales de là-bas. Alors, elle a fait l’effort d’être là. Et jusqu’à un quart d’heure, vingt minutes, elle avait presque regretté sa présence. Mais elle était encore sous les rudes coups de boutoirs de Pierre, le maître d’hôtel. Alors, tout en marchant vers la main tendue du Président, à chacun de ses pas elle avait encore de petits spasmes dans son anus, dans son ventre et dans ses seins qui lui rappelaient le bon souvenir du membre qui venait de la pourfendre. Les jambes encore tremblantes, le regard vague, elle tend sa main vers le vieillard qui la déshabille du regard et avec un petit sourire à destination de Dominique ajoute : — Je suis très heureux d’avoir un peu attendu. Il faut toujours que les belles femmes se fassent désirer, autrement, elles n’auraient plus le charme que vous avez… Maria Francesca ne sait trop que répondre et regarde fixement vers Dominique, qui lui fait une série de mimiques qu’elle n’arrive ni à comprendre ni à interpréter. Et le Président, un peu obséquieux continue, tout en lui tenant fermement la main : — Je vais aller chercher trois coupes de champagne, attendez juste un instant. Et il lâche, ...