1. Mère au foyer


    Datte: 29/10/2018, Catégories: fh, fplusag, vengeance, Oral préservati, pénétratio, attache, yeuxbandés, confession,

    ... doute pas qu’il trouve la place humide, toutes ces émotions m’ayant finalement amusée et excitée. Tout à l’heure, le sucer a été un plaisir, même si cela faisait partie de mon plan. Rien que d’y penser me fait frémir. Je me balance lentement sur lui pour qu’il joue avec mon sillon, suçant et happant mon clito jusqu’à lécher ma rondelle en passant par une langue qu’il darde le plus loin possible dans mon vagin. J’ai devant moi la vision de sa propre excitation. La verge est maintenant redevenue un fier mandrin qui demande des caresses. Il me suffit de me pencher pour le prendre entre mes lèvres. Un instant, chacun caresse l’autre. C’est si bon. Mais je veux plus maintenant. Je me redresse, et sans qu’il me soit nécessaire de formuler la question, Hugo me dit : — Dans ma poche de pantalon. Des capotes bien sûr. Il y a longtemps que je n’ai plus utilisé cet objet, mais c’est comme le vélo : on n’oublie pas. J’en déroule une sur le pieu de chair. Voilà, mon amant est prêt. Voir cet homme allongé, immobilisé, à ma merci me fouette les sens. Les menottes, maintenant, me paraissent bien autre chose que des outils utilisés pour la réalisation de mon plan. Ce sont maintenant des accessoires érotiques dont je ne soupçonnais pas la puissance. Pendant que j’affronte le regard d’Hugo, ma main guide son pieu vers ma fente. Je sens le gland écarter mes lèvres, et il me suffit de fléchir lentement les genoux pour venir m’empaler sur lui. J’avais oubliée combien les sexes des hommes peuvent ...
    ... être différents. Je n’ai pas toujours été une femme mariée ; et même si j’ai connu mon mari assez jeune, j’avais eu le temps de découvrir les plaisirs du sexe avec des garçons. Jacques aussi était expérimenté, et tout de suite nous avons eu une vie sexuelle très dense avec des fantaisies. C’est seulement depuis quelques mois que sa flamme s’est atténuée, et j’en connais maintenant la raison. Je suis maintenant littéralement assise sur lui. Chaque millimètre de son beau mandrin est en moi et j’en ressens la présence majestueuse alors qu’il explore des recoins oubliés. Pas de doute, il est mieux monté que mon mari ; mais la taille n’est pas tout. Hugo regarde. Hugo me regarde. Je vois ses yeux qui semblent me découvrir, lueur qui glisse de son manche disparu dans cette fente dont les plis cachent mon petit bouton à mes seins généreux et lourds. Je le défie, amant réduit à l’immobilité, en plaçant mes mains en coupes, réceptacles de mes seins. Je suis fier d’eux, que les maternités et l’âge n’ont pas flétris ou affaissés en mamelles qui offensent la vue. Il faut dire qu’ils font partie de ma sexualité. Combien de fois ai-je accueilli la verge de Jacques entre mes lobes pour lui proposer un fourreau que son sperme vient lubrifier ? Combien de fois m’a-t-il fait jouir juste en les caressant et pinçant mes tétons entre ses doigts ? Ils sont l’objet de toute mon attention, et chaque jour je m’oblige à des exercices qui sont censés leur garder une fermeté suffisante pour contrecarrer ...
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