Mère au foyer
Datte: 29/10/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vengeance,
Oral
préservati,
pénétratio,
attache,
yeuxbandés,
confession,
... les lois de la pesanteur. C’est moi qui joue avec eux. Je vois bien à son regard qu’il voudrait pouvoir participer. Quelle frustration de ne pas pouvoir profiter, caresser ce que ses mains, par un long travail d’approche, ont gardé en mémoire et que le cerveau a imaginé ! Mais non, ce sont mes mains qui caressent mes seins, mes doigts qui tirent sur les tétons, mes doigts encore qui tordent avec délice les pointes érigées par toute cette excitation. Mais je le distrais… Je commence la douce dance de l’amour, celle qui fait qu’un vagin s’empare, enveloppe, comprime puis libère, abandonne le sexe tout entier, tendu vers un seul but : revenir, dilater et occuper jusqu’à l’orgasme. Il donne aussi de petits coups de reins, apportant sa contribution à notre plaisir. Lentement, oui, le plus lentement possible, je me baise sur lui. Une minute, dix minutes, une heure ? Le temps ne compte plus. Ce qui compte, ce sont mes jouissances avant qu’il ne puisse plus se retenir. Quelle frustration de ne pas pouvoir sentir le sperme inonder ma grotte, crème chaude qui explose dans un tourbillon de plaisir ! Longtemps, je reste sur lui, allongée, femelle dominatrice mais qui demande pourtant la tendresse d’un baiser ou de bras protecteurs. Je détache les menottes. La salle de bain me permet de reprendre mes esprits. Il faut rentrer. Affronter mon mari. Affronter ? Pourtant, je ne suis coupable de rien ! C’est lui qui a tout organisé pour me conduire à ma perte. Hugo s’est rhabillé. Nous allons ...
... nous séparer, maintenant rattrapés par la réalité. Je lui demande – j’exige – qu’il contacte mon mari pour lui dire tout ce qui s’est passé. Je veux que Jacques ressente dans sa chair ce qu’il a planifié. Je vais partir. Hugo vient d’accepter tout ce que je lui demande. Il s’excuse pour le stratagème, qu’il regrette maintenant, d’avoir joué au séducteur sous les ordres de mon mari. D’ailleurs, il ne travaille pas du tout dans la même entreprise. En réalité, il est photographe et c’est seulement la proposition généreusement rétribuée qui l’a lancé dans cette aventure. Au moment de fermer la porte de la chambre, il me retient et, droit dans les yeux, demande : — On pourrait se revoir ? Comme je ne réponds pas, il insiste. — Anne, écoute. Je veux te revoir ! S’il te plaît… Tu me plais. Pas toi ? Dans l’ascenseur, je repense à ses paroles. Moi aussi j’ai aimé ! Et alors ? Une fois et c’est tout. Mais, Dieu, que c’est bon de se sentir désirée… —ooOoo— De retour chez moi, mon mari m’attend. Heureusement, la présence des enfants dans la maison nous oblige à de la retenue. Sinon, je pense que des paroles irrémédiables auraient été prononcées. En résumé : mon mari m’accuse d’adultère. Hugo a tenu sa promesse et a fait son rapport. Évidemment, je l’accuse de me tromper mais surtout d’avoir essayé de discréditer la mère de ses enfants pour aller vivre avec une jeunette. J’insiste sur le démon de midi et la peur de vieillir qui rend les hommes de la cinquantaine débiles et prêts à tout ...