1. Mère au foyer


    Datte: 29/10/2018, Catégories: fh, fplusag, vengeance, Oral préservati, pénétratio, attache, yeuxbandés, confession,

    ... pour montrer leur virilité. Chacun reste sur ses positions. Je refuse de divorcer. Petit moment mélo où je glisse que je l’aime encore. Il refuse de quitter sa maîtresse. Je confirme que s’il reste avec elle, alors je me sens libérée de toute obligation concernant ma fidélité. Cette affirmation le trouble. Manifestement, il n’avait pas envisagé toutes les conséquences de ses actes. Statu quo : nous restons ensemble. Chacun vit sa vie, mais dans la discrétion pour conserver un foyer familial pour les enfants, même s’ils sont assez vieux pour comprendre. Mais, comme je ne lui fais plus confiance, j’exige une preuve qu’il ne recommencera plus son entreprise pour me discréditer. La seule idée que j’ai trouvée, ce sont des photos avec sa maîtresse, bien sûr dans des situations qui montent bien leur relation. Nous convenons que moi aussi je lui donnerai des photos. Ainsi, chacun aura une emprise sur l’autre. Situation absurde, mais que j’accepte car je suis persuadée – même s’il refuse de le reconnaître – que sa liaison n’est qu’une passade. —ooOoo— Les semaines passent. Chacun s’accommode de cette situation. Bien sûr, je revois Hugo, ne serait-ce que pour que nous fassions des photos. Excuse bidon qui ne fait que confirmer que j’aime faire l’amour avec lui. Échange surréaliste des photos entre Jacques et moi. Chacun a déposé sur la table une dizaine de tirages papier de ses turpitudes avec sa maîtresse ou son amant. Elle est belle, la salope ! Je comprends l’attirance qu’elle ...
    ... exerce sur mon mari. Par contre, les photos ne sont pas terribles, mais pourtant suffisamment explicites pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur leurs relations. Hugo a fait bien mieux. Le modèle – moi en l’occurrence – ne peut pas rivaliser avec la jeunette, mais c’est compensé par la touche du photographe professionnel. Nous nous sommes beaucoup amusés pour les faire, et c’est en voyant le visage de mon mari qui les découvre que je réalise la crudité de certaines. Il me regarde sans rien dire, comme s’il cherchait sur les photos la femme qui lui fait face. Étrangement, cette situation se reporte sur l’ambiance de la maison. En bien, je veux dire. Les garçons se rendent bien compte que tout est plus serein, mais j’imagine qu’ils mettent cela sur le compte d’une complicité retrouvée entre les parents. C’est vrai que Jacques et moi sommes plus décontractés. S’il veut s’absenter – pour manifestement rejoindre sa maîtresse – il n’a plus besoin de construire un mensonge ridicule. Il le fait en précisant uniquement la durée de son absence. Il lui est même arrivé de partir un week-end. Dire que je suis indifférente à ses départs serait faux. Mais je gère, et Hugo me sert de soupape. Agréable soupape, d’ailleurs, qui petit à petit passe du statut d’amant à celui d’amant et confident. Hugo, en fin psychologue, et a compris avant moi que je suis toujours très amoureuse de mon mari. Nos rencontres, chez lui, sont toujours très chaudes. Comme il est agréable de ne penser qu’à son plaisir ! ...