Xanths (3)
Datte: 30/10/2018,
Catégories:
Trash,
Romane Je me réveillai en pleine nuit. L’air était légèrement frais, titillant la pointe de mes seins. La femme m’avait déposé en contrebas d’une falaise, et je pus reconnaître sans peine en dessous l’endroit où nous avions trouvé refuge avec Zvolk. En fait, je me trouvai à deux pas de l’endroit où le garde avait failli m’engrosser quelques jours auparavant. Cette femme m’avait piqué au vif : elle se trompait si elle croyait pouvoir m’insulter aussi facilement ; il fallait que je la retrouve. Il fallait que je retrouve Zvolk également. Si ce qu’elle m’avait raconté était vrai, cela faisait presque une semaine que nous nous étions quitté. Je n’avais pas le choix : il fallait pour un temps que je me débrouille seule. Je rejoignis l’ancien refuge : le mirage avait disparu, et le sort avec ; seuls demeuraient le feu de camp, la plante, et le corps du garde caché derrière les buissons. Je commençai à m’habituer au fait d’être nue la plupart du temps, cela ne me gênait même plus lorsque je n’y faisais pas attention. Ce qui me dérangeait au contraire, c’était les marques de griffures sur mes fesses : lorsque la blonde avait forcé l’ogre à sortir de mon ventre, il s’était agrippé à mes fesses, les raclant au passage ; la douleur était toujours présente, qui plus est, il m’avait possédé en levrette à même le sol, rocailleux : j’avais les genoux ouverts et mal partout. En y réfléchissant, je me rendis compte que le corps du garde avait été bougé. C’était peut-être mon imagination, ...
... ou peut-être que le garde n’était pas mort sur le coup lorsque je l’avais poignardé. Quoi qu’il en soit, l’ogre était caché par la flore : quelqu’un était passé par là, peut-être Zvolk avec un peu de chance. Déjà, il fallait que je retrouve son couteau. Je parcourus alors le même chemin que lorsque j’avais cherché à échapper au deuxième ogre, inspectant chaque roche pour y espérer le trouver : en fait, il été tombé à l’endroit où je m’étais retourné, c’est-à-dire à la base du chemin, à la fois au pied de la colline et à deux pas de la mer. Commença alors une longue semaine, dont je vous passe les détails : d’autres gardes étaient à mes trousses, sillonnant la zone. Je vivais de nuit : le jour je me cachais dans les crevasses des falaises, la nuit je descendais boire et manger (oui, plante oblige je décompressais en même temps). Une nuit, je parvins à repérer un lapin en contrebas : il était bien plus grand que ce auxquels j’étais habitué. Son terrier se trouvait en contrebas, à deux pas de la prairie au pied de la falaise : Une nuit, j’attendis à deux pas, et lorsqu’il sortit de sa cachette, je le tuais. Sa viande me permis de me passer des longues phases de grossesses imposées par les plantes, et sa peau me permis de confectionner un pagne : j’avais toujours les seins à l’air, mais au moins mon intimité (que je prenais toujours plaisir à ne pas raser, non mais…) était couverte : j’avais un look d’amazone un peu sexy, quelque part ça me faisait rire. Son dépeçage fut un vrai ...