1. Un après-midi plein de révélations


    Datte: 30/10/2018, Catégories: fh, ff, inconnu, fépilée, magasin, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, chaussures, intermast, init,

    Nous sommes en vacances depuis quelques jours dans le sud de la France. Aujourd’hui le ciel est un peu voilé, nous décidons avec Babou d’aller faire un tour dans le centre-ville de Carcassonne. Même si le soleil n’est pas au rendez-vous, la chaleur autorise les tenues légères. Babou a revêtu une robe blanche portefeuille très légère. Une de ses réalisations. Si vous l’observez, vous constaterez que les trépidations de sa gorge témoignent qu’elle a laissé son soutien-gorge dans l’armoire ; et la transparence de la robe faite que si elle avait revêtu un string, vous le verriez ! Nous prenons l’auto et je sens à l’intérieur de la voiture une ambiance très sensuelle. Les fenêtres sont ouvertes et le vent balaye les cheveux de Babou. Elle s’installe confortablement, pose un pied sur le tableau de bord. La magie de cette robe portefeuille révèle ses cuisses déjà joliment dorées. Je roule doucement et la boîte automatique permet des libertés. Ma main ne peut résister longtemps à se poser sur cette magnifique cuisse qui l’attire. Je la connais par cœur, mais la douceur que je rencontre m’émeut toujours autant. Mes doigts entament une danse au rythme de la musique douce que diffuse l’autoradio. On ne se parle pas, comme si rien ne devait venir perturber cette ambiance. Alors que le ballet de mes doigts se poursuit, ils se rapprochent de plus en plus de cet endroit magique. Ils sont sur la face intérieure des cuisses tout en haut là où c’est d’une douceur à vous faire vous pâmer. Ils ...
    ... poursuivent leur progression pour venir s’égarer sur le joli abricot doré de Babou. Mes caresses se limitent maintenant à un périmètre assez restreint. Je me dois de rester concentré sur la route et Babou de son côté regarde aussi droit devant elle, sauf que ses yeux se sont fermés. Elle s’est légèrement avancée sur le siège pour me montrer au cas où je ne l’aurais pas compris qu’elle est enchantée par le spectacle que livrent mes mains et qu’elle entend donner libre accès à leur aire de jeu. Ne sachant rien refuser à Babou, mes doigts viennent à présent caresser la face extérieure de ses grandes lèvres. Je sens un frisson qui se répand dans tout son corps. Ils descendent pour aller constater une atmosphère humide qui s’installe en cet endroit. Je remonte en écartant les lèvres et viens taquiner son clitoris. Babou ne peut refréner un gémissement. Ce n’est pas trop dans son tempérament d’exprimer oralement son plaisir, mais là l’instant fait que je sens qu’elle est ouverte au plaisir. Le monde extérieur n’existe plus pour Babou. Mes doigts redescendent vers l’entrée de son vagin. On se croirait sous les tropiques tant le degré d’hygrométrie est élevé. Un premier doigt passe la porte du paradis avec une telle facilité, qu’il est aussitôt rejoint par un deuxième. Babou laisse échapper un doux feulement. Je suis aux anges. Quel bonheur de lui offrir ce plaisir ! Je suis concentré sur ce que je sens au bout de mes doigts, car mes yeux restent rivés à la route. Or ils perçoivent ...
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