1. Un après-midi plein de révélations


    Datte: 30/10/2018, Catégories: fh, ff, inconnu, fépilée, magasin, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, chaussures, intermast, init,

    ... pied avec encore plus de douceur que le premier, j’ai l’impression, lui enveloppe la cheville d’une caresse pour la chausser. Il y a un grand silence dans ce magasin douillet. Aussi comme pour casser ce silence, je dis à notre commerçante que Babou adore et ne porte pour mon plus grand plaisir que des hauts talons. Elle saisit l’occasion au vol et me dit qu’elle vient de recevoir un très joli modèle rouge qu’elle voudrait nous faire voir. Elle part à nouveau vers l’arrière-boutique sans que nous ayons le temps de réagir. Je regarde Babou. Nos yeux se croisent. J’y lis plein de tendresse, de douceur, de sensualité. Ma femme baigne dans une quiétude que je ne lui ai pas connue depuis longtemps. Notre vendeuse est de retour, se réinstalle devant Babou. Je l’observe. Elle ne perd pas une miette du jeu de jambes qui s’offre à elle. Je suis sûr que d’où elle est, elle peut constater une divine luisance qui doit s’afficher sur le sexe de Babou. Oui puisque non seulement aucun tissu ne le protège, mais Babou a opté depuis longtemps pour laisser épanouir sa sensualité si bien qu’aucune pilosité ne vient recouvrir son sexe. J’ai le sentiment que ses mains attrapent les chevilles de Babou avec de plus en plus de douceur. Babou se lève pour aller regarder l’allure de ces escarpins dans une grande glace. Ils lui vont à ravir. Elle revient vers son fauteuil et regarde avec intensité la vendeuse. Celle-ci lui reprend le ...
    ... pied pour lui ôter la chaussure. Mais quand le pied est dégagé, la main de la vendeuse ne se retire pas. Au contraire, elle remonte sur la jambe comme si elle lui faisait un doux massage. Le regard des deux femmes se croise. Un léger sourire se dessine sur la bouche de Babou, mon cœur s’emballe. La main de la commerçante a passé le genou pour venir enrober la cuisse de mon épouse. Il faut dire que la robe est faite pour la circonstance. Elle repose le pied et attrape le second pour ôter la deuxième chaussure. Le même jeu recommence, la main remonte inexorablement vers la cuisse. Les yeux de Babou sont à présent fermés. La vendeuse a dû interpréter ça comme un accord, car la main s’aventure vers le haut des cuisses pour venir atteindre ce doux abricot que mes lèvres viennent souvent déguster. Je sais la douceur que rencontre cette main. Je crois aussi me douter de l’humidité qu’elle doit découvrir. J’ai chaud d’un seul coup. Je ne bouge pas et les deux femmes d’ailleurs font comme si je n’étais pas là. À présent, Babou livre totalement son sexe aux caresses des mains de la vendeuse et très vite pour la deuxième fois de l’après-midi j’entends un profond cri de jouissance qui s’échappe de la bouche de ma femme. Babou a pris goût à exprimer oralement son plaisir ! Elle referme les jambes et dit à la commerçante qu’elle veut réfléchir. Est-ce que par hasard ma femme aurait envie de revenir ? Je vous le dirai. 
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