1. Un après-midi plein de révélations


    Datte: 30/10/2018, Catégories: fh, ff, inconnu, fépilée, magasin, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, chaussures, intermast, init,

    ... les premières contractions du muscle vaginal. Mes doigts vont et viennent à un rythme de plus en plus élevé. Mon bras est contorsionné, je suis à la limite de la crampe. Je me lance dans un final intense où, entre des allers et retours profonds, mon pouce vient câliner le clitoris qui bande comme un petit sexe d’homme. Et c’est la jouissance de Babou qui explose, elle ne contrôle plus les mouvements de son bassin qui vient au-devant de mes doigts. Sa bouche s’entrouvre pour laisser passe cette fois-ci un profond feulement de plaisir comme jamais elle ne m’en avait livré. Heureusement, nous arrivions à destination. Je me gare. Babou se réajuste, un peu sonnée par cette intense jouissance. Nous démarrons amoureusement notre ballade. Mes mains se promènent sur son délicieux fessier. J’adore la sensation qu’aucun n’obstacle ne vient arrêter ma caresse. J’aime par ce discret attouchement rappeler à Babou qu’elle est tellement désirable dans cette nudité sous sa robe. Nous faisons les magasins. J’ai envie de lui faire plaisir. L’après-midi avance, il est aux alentours de 18h30. Quelques rideaux commencent déjà à se baisser. Nous nous arrêtons devant un magasin de chaussures. Babou a une adoration pour les chaussures. Elle ne porte que des hauts talons ce qui donne une grande classe à son allure. Nous tombons l’un et l’autre en admiration devant une paire d’escarpins magnifiques. J’invite Babou à passer la porte pour qu’elle essaye. Elle hésite quand elle voit le prix, car elle ...
    ... aime en avoir beaucoup, mais très souvent n’y met pas une fortune. Je réussis à la convaincre d’entrer pour demander à les essayer. Je lui dis « ils n’auront peut-être pas ta taille ! ». Nous poussons la porte. Il y a une lumière tamisée dans le magasin qui crée une atmosphère feutrée. Personne. Trente secondes après une dame sort de l’arrière-boutique. La quarantaine, une première chose me frappe : elle porte aux pieds les chaussures qui ont arrêté notre regard il y a cinq minutes. Le spectacle est superbe. Je lui indique que mon épouse souhaiterait essayer les mêmes escarpins qu’elle porte, en taille 40. Elle invite Babou à s’asseoir dans un fauteuil et me montre du doigt celui qui est presque en face. Puis elle repart vers l’arrière-boutique pour revenir avec dans les bras la boîte de chaussures. Elle attrape au vol un petit tabouret. Elle vient s’installer devant Babou, sort le modèle de sa boîte et demande à Babou de lui confier son pied. Je suis positionné légèrement de côté et je regarde vers ma femme. Aussi je peux constater que quand elle tend sa jambe, sans s’en rendre compte sans doute, elle offre à la vendeuse l’affolant spectacle de son abricot doré qu’aucun tissu ne protège comme d’habitude. La vendeuse semble ne rien laisser transparaître. Elle invite Babou à lui présenter le second pied et, à nouveau, merveilleux jeu de jambes. J’ai même l’impression que Babou accentue l’ouverture. Serait-elle consciente du spectacle qu’elle offre ? La vendeuse prend son second ...