1. Ma tante de 45 ans est sublime (5)


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... yeux. Ils étaient fins – elle chaussait du 39, signe qu’ils étaient très gracieux – et ses orteils recouverts d’un splendide vernis rose ne faisaient que renforcer leur beauté et mes intentions. — Tatie, je n’ai jamais vu d’aussi beaux pieds que les tiens. — J’en sais quelque chose... Bon, tu veux caresser mes pieds ? Je commençai à les prendre, puis je passai mes mains sur la paume de ses pieds et ensuite je glissai sur le dessus de ses orteils. Que la peau était douce à cet endroit ! Je déposai quelques baisers pour commencer à accoler mes lèvres au bout de ses orteils sublimes. — Je fantasme sur tes pieds – c’est mon point faible ; alors, dès que je regarde les tiens... — Tu es bien le premier homme à me dire ça ! — Tu as des pieds si soignés, si précieux à mes yeux... Je ne pus m’empêcher de les porter à ma bouche. — Tu es complètement fou, Jean... Je couvris ses pieds de baisers, je promenai ma langue sur l’extrémité des ongles de ses orteils. Mon Dieu, qu’ils sentaient bon, que ses pieds étaient divins ! Je les bouffai littéralement. — Tu aimes, Chantal ? — Je ne connaissais pas comme ça, sur la terrasse, mon chéri, et j’avoue que c’est assez différent de l’autre fois... — Moi, j’adore. — Alors si tu adores, Jean, je vais certainement adorer à mon tour sans rien faire. N’écoutant que moi-même, je continuais ma tâche, ainsi je pétrissais ses pieds de folie, je les léchais, les embrassais, les cajolais... Ma tante ne resta pas longtemps insensible à mes caresses plus ou ...
    ... moins originales, et de manière soudaine elle posa un pied à même le sol pour mieux écarter ses jambes. — Chantal, tu n’aurais pas une idée en tête ? Connaissant désormais bien ma tante, j’eus droit à sa réponse favorite : son sourire coquin. Il n’en fallut pas plus pour que je m’aventure vers des caresses plus approfondies de ses jambes merveilleuses. — Toi, tu veux aller au lit... — Pas encore : je n’ai pas fini. — Jean, mais que veux-tu que je fasse ? Les chaises étaient confortables avec de larges accoudoirs, alors je l’invitai à venir s’asseoir sur mes genoux. Ma tante vint se positionner sur moi. Une fois de plus, j’adorai les multiples parfums qu’elle dégagea ; ce fut comme un havre de paix de l’avoir sur moi. Et puis, avoir ma tante presque nue sur moi, dans un fauteuil de sa terrasse, me donna le sentiment qu’elle était définitivement "à moi". J’avais conquis ma tante, cette belle plante de 45 ans que je pouvais baiser quand je le voulais. Et de plus, elle en redemandait ! Aussi je la câlinai tout en sentant les lèvres de son sexe sur mes cuisses. Quant à ma tante, elle se délectait à passer ses mains dans mes cheveux tout en effleurant ma nuque et mes épaules. Elle s’était presque recroquevillée et nous commencions à nous embrasser, même si je continuais à lui serrer les pieds qui me tenaient tellement à cœur. Puis, toujours avec tendresse, mes doigts se dirigèrent vers son jardin secret, jardin secret qui avait hâte de se faire doigter, si j’en crus la facilité avec ...
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