Ma tante de 45 ans est sublime (5)
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Mardi Le soleil se levait, il était 6 heures et ma tante dormait à poings fermés. J’allais me lever quand je sentis sa main me retenir : elle voulait un petit câlin matinal. Je la pris dans mes bras, sentant sa chaleur à elle. Chantal me tira vers elle pour m’offrir ses lèvres. Nous nous embrassâmes, et je ne pus résister à promener mes mains sur ses superbes fesses. Ma tante n’aimait pas prendre l’initiative. — Bonjour, chéri, tu as bien dormi ? — Bonjour, ma chérie ; oui, et toi ? — Oh, avec toi, Jean, je dors incroyablement bien : j’ai comme l’impression que tu me tranquillises. — Si tu le dis... Ce soir, je te réserve une surprise ! — J’en frémis d’avance... me dit-elle avec un sourire malicieux. Elle glissa le bout de ses doigts vers le long de ma verge, ce qui me procura une sensation vertigineuse. Chantal, allongée sur le dos, m’attira directement sur elle, elle qui d’habitude se faisait discrète en matière d’initiatives ! — Toi, tu as envie de tefaire baiser... — Ouiiii, mon chéri ! Ni une ni deux, je la pénétrai en délicatesse en l’embrassant tantôt dans le cou, tantôt sur ses somptueuses lèvres. J’eus l’impression que ma tante était "désireuse" depuis un certain temps, vu la facilité avec laquelle je m’enfouis en elle. Elle se mît à gémir dès mes premiers coups de reins, preuve que j’avais vu juste. J’en conclus dans la seconde que ma tante était une sacrée baiseuse et qu’elle n’avait plus goûté aux joies de l’amour, depuis de nombreuses années. — Jean, c’est bon ...
... de commencer la journée en faisant l’amour si tôt avec toi... — Qu’est-ce que j’aime ça avec toi ! — Tu vas finir par croire que ta tante est une malade de sexe ! — Ah non : plutôt en manque de sexe depuis un bout de temps. — Oui, c’est vrai, mais avec toi c’est du super sexe en plus, t’es un sacré baiseur mon neveu ! À l’aide de ses jambes, elle se débarrassa de la couverture et m’entoura la taille en les croisant autour de moi. Nous nous embrassâmes immédiatement, et nos langues firent des figures de style à l’intérieur de nos bouches. — Viens, mon chéri... Je baisais à nouveau ma tante qui n’attendait que ça. Mes mouvements lents prirent de l’élan, jusqu’à que les bras de ma tante se mettent à me serrer de plus en plus fort, preuve d’un orgasme imminent de sa part. Je jouis en elle en l’embrassant avec frénésie. Elle jouit en moi en m’embrassant farouchement. Elle me serra contre elle avec long râle, une sorte de soulagement du plaisir reçu. — J’aime te sentir jouir en moi, Jean... — T’es une femme géniale ! C’était si bon de baiser ma tante tôt le matin ; elle était si câline, si femme. Je restai en elle, dans sa chaleur, dans son éveil matinal. Avec délicatesse, il fallut se retirer, et je vis l’instant d’après ma tante s’étirant tout en longueur en tendant ses bras derrière sa jolie frimousse. Ainsi je pus me délecter de la vue de son corps, voir son ventre creusé avec ses côtes apparaissant. J’attrapai l’un de ses seins et lui suçai son téton déjà bien ferme. À force ...