Ma tante de 45 ans est sublime (5)
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... arriva, nous nous fîmes la bise devant des voisins qui passaient et qui nous saluèrent par la même occasion. J’avais dissimulé mon bouquet dans le dos puis, de manière soudaine, je le présentai à ma tante. — Surprise ! Il y avait trois roses rouges, synonyme des trois mots "je t’aime". Chantal le savait et mit ses mains devant le visage, visiblement très émue. — Je ne sais pas quoi te dire Jean ... Et ne sachant que faire, elle m’embrassa fougueusement pour finir par un baiser dans mon cou. Je rentrai dans son salon prendre un Coca et ma tante prit un vase pour déposer mes roses. — À moi de te faire une surprise. Je monte me changer ; regarde la télé ou attends-moi sur la terrasse. — Je fume une cigarette, alors, direction la terrasse ! Pour être plus décontracté, je m’étais mis en caleçon. Tandis que je finissais mon verre, j’entendis Chantal arriver sur la terrasse. Elle venait de prendre une douche, ses cheveux légèrement mouillées en témoignaient. Elle s’était mise à son aise, c’est à dire en robe de chambre, puis s’installa sur un des fauteuils de la terrasse. — Alors, ma tante, quelle est ta surprise ? Chantal me lança un petit regard, assise. Elle décroisa ses jambes et ouvrit brièvement sa robe de chambre : elle n’avait rien en dessous ! J’aperçus son intimité ainsi que sa poitrine dont les tétons durcis par la douche se dressaient, tel un appel au plaisir. Elle laissa sa robe entrouverte, le spectacle qu’elle m’offrait devenant presque surréaliste. Ses longues ...
... jambes à la peau si douce la mettaient en valeur, avec sa jolie nuque très effilée et toujours ses pieds fins au vernis rose. — Jean, tu peux m’amener un verre d’eau pétillante ? — Oui, volontiers. Je me levai dans la foulée. Ma main se dirigea vers sa poitrine bien ferme avec une belle caresse en guise de compliment et je lui ramenai son verre. — Ma surprise te plaît ? — T’es comme une gourmandise, Chantal ; on n’a qu’une envie : te déguster. — C’est le but ; en principe, on consomme ! dit-elle en pouffant de rire. — Ne t’inquiète pas, ma Tatie, j’ai une faim de loup ! — Alors tu vas encore me gâter, mon chéri. Inutile de préciser que mon caleçon ne m’arrangeait guère lorsque mes yeux se posaient de manière régulière sur l’entrejambe de ma tante. Elle était sublime, ma tante, enveloppée dans sa robe de chambre à moitié ouverte ; ses longues jambes, ses pieds fins et ses yeux brillants n’en finissaient plus d’avoir raison de moi. Sa terrasse était abritée par un long store avec un muret rehaussé d’un grillage que la vigne vierge grimpante abritait des regards indiscrets. Chantal fut visiblement excitée par cette situation, n’arrêtant pas de décroiser ses jambes pour mieux me montrer son sexe dont j’étais follement admiratif. N’y tenant plus, j’approchai mon fauteuil et lui suggérai de tendre ses jambes sur les miennes pour mieux lui caresser ses jolis pieds, comme la dernière fois. Mon fantasme avait été réalisé avec ses pieds dimanche dernier, mais ce n’était pas suffisant à mes ...