1. Ma tante de 45 ans est sublime (5)


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... saccades dans son orifice totalement dilaté. — Comme c’est bon ! hurla-t-elle. — Oui, je sais... Que tu es belle ! Je continuais à lui défoncer le cul avec des coups répétés ; mes attaques étaient brusques, violentes, ciblées. Chantal n’en finissait plus de gémir de plaisir en se faisant pilonner son beau derrière entièrement "dévoué" à ma cause. Ma tante était véritablement étalée sur le lit, elle se répandait tout en se maintenant cambrée comme pour encore jouir avec mon membre introduit dans son être. Puis mes mouvements se firent plus lents. J’appréciais de rentrer en elle, même si mon sexe commençait à me trahir. Je parcourus son ventre pour remonter vers ses seins chauds, aux tétons bien durs, que je pinçai délicatement entre mes doigts. Chantal en fut excitée comme une folle. Je me retirai d’elle avec quelques perles de sueur et m’allongeai à ses côtés, épuisé du plaisir d’avoir sodomisé ma tante. — Mon chéri, tu me baises comme un malade, et j’adooore ça ! — Tu es faite pour moi. Ton corps, ton cul, ton sexe... tout me plaît en toi. Le calme se fit dans la chambre ; le soleil se dissipa peu à peu. Chantal, tout comme moi, se remit allongée sur le lit. — Je te le dis à tête reposée, maintenant ; tu vas trouver ça idiot à mon âge mais, Jean, je crois que je suis amoureuse de toi. — Ce n’est pas idiot, Tatie ; et si je te disais que je t’aime, Chantal ? Sur ces paroles, je vis le regard de Chantal s’émerveiller. Une larme coula sur sa joue, si émue de lui avoir dit ...
    ... que je l’aimais. Et moi ? Entendre de ma tante qu’elle était amoureuse de moi me fit l’effet d’une bombe, mais je ne montrai rien pour faire preuve de maturité. — Mais, Jean, qu’allons-nous faire ? — Andrew rentre samedi de l’hôpital et repart lundi en maison de repos ; alors profitons-en, et après nous verrons. Elle se colla contre moi et embrassa mon torse, puis se leva, comme rassurée par mes propos. — Avant d’aller dîner, je fais un brin de toilette, chéri. — Entendu ; je descends mettre la table. — Tu es un amour... Du coup, j’avais l’impression d’entendre ma mère quand je suis serviable ! Retour à la réalité : Chantal était ma tante, même si ça ne me dérangeait aucunement de la sauter allègrement. Et j’ajouterai qu’elle aimait ça. De plus, elle était désormais amoureuse de moi : je le voyais dans sa façon de me regarder, me sourire, de parler avec moi. C’est à table, lors d’une conversation, que ce fut flagrant. Je lui racontais une histoire de famille et je la vis m’écouter, buvant mes paroles comme à une époque où je la regardais, je l’écoutais, je buvais ses paroles et je la dévorais de bas en haut, mais cette fois la situation était inversée. Ma tante était amoureuse ! Je le vis également dans son comportement : elle était plus joyeuse que d’habitude, plus rieuse. Elle se comportait par moments comme une gamine avec moi, comme une fille de 20 ans. La table fut mise et Chantal se mit en cuisine pour nous faire un repas de surgelés. Je l’entendais fredonner un air de ...