Ma tante de 45 ans est sublime (5)
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... d’aspirer, de pomper son mamelon et son aréole, je ressentis une sorte de liqueur avec comme un goût de vanille, mi-sucré, mi-salé. Chantal se tortilla de plaisir, me caressa mes cheveux. Je pratiquai cette succion sur son merveilleux sein, tel un bébé. Ce fut nouveau pour moi comme pour elle. — Je goûte ton sein ; on dirait que tu donnes du lait. — Ah bon ? me dit-elle avec sa petite frimousse matinale. — En tous cas, c’est toujours le top avec toi. — Oui, mon neveu adoré, c’est génial entre nous. Je la couvris de baisers ; elle me caressa la nuque en ne sachant que faire sous l’effet de ma succion. Comme elle me plaisait, cette nana qui était ma tante, et comme je prenais mon pied avec elle ! Puis je pris un café, ma douche, et direction le bureau comme si de rien n’était en arrivant pour saluer mes collègues. Ma tante arriva de son côté à 8 h 30, comme à son habitude toujours très soignée, mais cette fois avec un pantalon qui mettait en valeur ses formes avantageuses. Je la regardai en la bouffant du regard. Elle le sut très bien et me le fit savoir avec ses regards en coin (j’adorais ça...). La matinée passa, puis vint midi. Nous mangions toujours à la même table de la cantine, et je faisais rire ma tante avec quelques facéties. Nos collègues nous observaient ; comment pouvaient-ils penser que nous étions amants ? L’après-midi se déroula d’une manière quelconque. Dès que je le pouvais, je trouvais un prétexte pour aller voir ma tante, et dans son fameux couloir des ...
... archives je l’attirais vers moi pour mieux l’embrasser, ce qui était loin de lui déplaire. Elle ne portait plus de culotte désormais, et à la moindre occasion je glissais ma main sous sa jupe et lui caressais allègrement le sexe. Je crois bien qu’elle adorait ce que je faisais : c’était une nouvelle expérience pour elle (comme pour moi, d’ailleurs). Je savais que je l’excitais au plus haut point, dans le seul but de lui faire naître un désir à mon encontre quand je la retrouverais chez elle le soir. Son intimité n’avait plus aucun secret pour moi. J’adorais la voir se laisser faire par son jeune neveu. Je la doigtais pour mieux l’exciter ; et, au bord du désir, elle posait sa tête sur mon épaule tout en écartant les jambes. — Toi, tu sais y faire avec moi... me disait-elle, toute trempée dans son intimité. — J’ai appris à te connaître, Tatie d’amour. — J’ai envie de toi, mon neveu adoré... — Ce soir, Chantal. — T’es vache ! Évidemment, à l’instant présent, une idée folle me traversa l’esprit : la sauter immédiatement. Le risque encouru était grand, car la dernière fois nous étions passés près de la catastrophe. Je ne pris pas ce risque, bien que ma tante se montrât insistante. Nous évitâmes de rester ensemble dans son bureau, de peur d’être surpris. À 18 heures je montai chez moi... pour mieux redescendre à 18 h 30 et filai chez ma Tatie. Je passai chez le fleuriste lui acheter un bouquet de roses bien rouges. À 19 heures je sonnai, faute de clés : toujours pas de double. Ma tante ...