1. Fraternité étudiante (2)


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Gay

    Pour la deuxième étape de l’initiation, on nous fit monter du sous-sol au rez de chaussée. Comme je le compris plus tard, les vingt chambres de ce niveau étaient toutes occupées par des deuxièmes années, alors qu’au premier et au second vivaient les troisièmes, un par piaule avec son filleul de première année. Kyle m’avait choisi. Au cours de la soirée on me demanderait de l’accepter. En cas de refus je pouvais m’en choisir un autre mais je devrais quoi qu’il arrive partager la chambre de Kyle dans l’année. Si le parrain que j’avais choisi me refusait, je devrais garder Kyle. J’appris au cours de la soirée quels droits il aurait sur moi. Nous étions toujours à poil. Tous les deuxièmes années étaient dans le couloir, la plupart torses-nus, en short ou survêtements quelques-uns en jockstraps. Les cris explosèrent quand nous parûmes dans le couloir. On nous demanda de nous mettre à quatre pattes et on nous donna des genouillères que nous enfilâmes. Le Grand-Maître nous demanda si nous étions puceaux et vierges du cul. Les choses se précisaient. Nous répondîmes tous oui. Marcus me souffla : "Mais on ne va plus l’être ce soir c’est sûr" ce à quoi je m’entendis répondre sans avoir réfléchi "Je l’espère" ! Un deuxième année qui était près de nous nous entendit et en criant il demanda aux autres d’écouter et demanda à Marcus de répéter ce qu’il venait de dire : "Est-ce que tu es vierge du cul" ? — Yes sir! (C’était la formule par laquelle nous devions répondre à chaque fois, à voix ...
    ... forte presque qu’en criant, dès qu’on nous demandait de parler) — Et qu’est-ce que tu as dit ? — Que je ne le serais sans doute plus ce soir, sir! et s’adressant à moi "et toi bâtard, qu’as tu répondu "? Je dis le plus fort que je pus : "Que je l’espère sir"! Ce fut du délire; Il y eût des sifflets, des applaudissements et plusieurs mecs plièrent leurs genoux pour se mettre à notre hauteur en empoignant leur sexe à travers leurs fringues, ou en baissant leur survet ou leur short. Plusieurs pénis me caressèrent le visage, je sentis les odeurs de sueur et de queue; j’entendis des "Welcomes" des "Good man" des "tu veux ma queue dans ton cul salope", "Je vais te niquer", "Je vais t’élargir le trou, te déchirer grave", etc... Mais le Grand Maître imposa le silence, puis un des mecs en cape vint nous ouvrir le cul et vérifier du doigt et de l’œil si nous avions dit vrai, si notre rondelle était toujours inviolée. On nous mit ensuite un humbler et je découvris ces deux barres métalliques où on enserra mes couilles dans l’encoche pour les tirer vers l’arrière, la barre s’appuyant sous les fesses, sur les cuisses et maintenant le paquet tiré vers l’arrière. C’était assez douloureux. Puis il eut une course. Nous devions gagner l’autre extrémité du bâtiment (Ils sont carrés ce qui revenait à en faire le tour complet sauf qu’on ne devait pas entrer dans le hall) puis faire demi-tour et rejoindre ainsi le bloc des sanitaires qui se trouve au centre. A ce jeu là, celui qui a les couilles ...
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