1. Fraternité étudiante (2)


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Gay

    ... les vingt culs des maîtres et ceux de nos parrains à lécher, mais les vaincus devaient bouffer tous ceux des deuxièmes années. Je ne savais pas si l’ordre m’avait été donné ou s’il avait été donné à Charly. Mais je ne lui laissai pas le temps de réfléchir. Détachés l’un de l’autre, mais les couilles toujours lestées, nous étions côte à côte devant ce cul superbe et, à genoux, je m’avançai le premier. Je n’entendais déjà plus les sifflets, le tumulte autour de nous. Je ne voyais que ces fesses magnifiques, sculptées, musclées et ces cuisse poilues et campées de l’homme dont j’étais le sacrifice. J’écartais les éminences rebondies et solides de mes mains pour découvrir la rondelle dans une raie totalement épilée, lisse et douce, et je contemplais cette rosette comme une incomparable friandise, un grall, une offrande sacrée, un fruit défendu et secret dont le mystère se révélait à moi aujourd’hui. ndpniisf Avant même d’y glisser la langue je sus que j’allais en raffoler. Je commençai par lécher timidement puis j’y appliquai toute ma bouche et dévorai goulument en serrant les fesses autour de mon visage avec mes mains. J’essayai ensuite de faire pénétrer ma langue le plus loin possible dans cet abîme de délices. Le Grand-Maître tortillait du cul, s’agitait et gémissait. Je sus au mouvement de son bras et aux impulsions qu’il imprimait à son corps qu’il se masturbait en se régalant. Mais il mit fin lui même ...
    ... à mon désir en me congratulant et en me proclamant "bon lécheur de cul" ce qui me valut une ovation. Puis il me fallut embrasser le postérieur de mon parrain. Lui ne s’était pas rasé. La fente était touffue et douce, odorante, mais elle devint vite mouillée au contact de mes langue. Mais dans cette cavité humide, je profitais moyennement du trou en lui-même et je développai déjà une préférence pour les culs imberbes à bouffer. Puis je passai de fessiers en fessiers, de trous en trous à m’en faire mal à la langue, au milieu d’une forêt de zobs dressés et de mâles excités. Il nous fallut longtemps pour satisfaire tout ces messieurs même si le temps était à peu près compté pour chacun d’eux. Alors on nous demanda si nous étions près pour l’étape suivante. Nous prêtâmes serment et nous gagnâmes le dernier étage occupé par les vingt membres du Grand Conseil et leurs filleuls, ceux-ci, tous nus mais spectateurs impuissants de ce qui allait se passer. Tout au long du couloir avaient pris place les autres troisièmes années et les deuxièmes aussi. C’était une cohue de bites, de culs de muscles, tout le monde à l’exception du grand conseil étant nu. On nous attacha des pinces aux tétons, aux couilles et à la bite, toutes reliées à une même chaîne au bout de laquelle, au sol, était lié un petit chariot. Mains dans le dos, nous devions le tirer, alternativement en épreuve chronométrée. Le vainqueur fut Ben. A suivre 
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