Ballade en campagne.
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... ne cessais pas pour autant de me gaver de sa superbe bite. Tellement chaude et excitée, je me laissais déborder de toute part…" "C’est vrai qu’il aurait pu se laisser aller et profiter de la furie blonde qui lui pompait la queue sauvagement. Heureusement pour moi, son désir ne s’arrêtait pas là ! Tout en grognant que j’étais une belle petite chaudasse, le type s’est reculé m’obligeant à lâcher ce dard qui m’inspirait tant… À genoux, il me levait les jambes se glissant entre elles. Je découvrais enfin le visage de mon assaillant ! Un type d’une quarantaine d’années bien en chair, aux grosses mains bien dodues que j’avais bien remarqué. À vrai dire, à cet instant, son visage, son physique m’importait peu, seule sa verge et sa manière de faire m’intéressaient. Croyez-moi, je ne fus pas déçu par la suite. "Positionné entre mes jambes, le type m’a saisi derrière les genoux, me relevant ainsi les jambes. Prenant ses aises, allongé, il s’est alors mis à me passer la langue partout et sans titiller ; il me lapait avec furie l’entrecuisse. Ses doigts, sa langue, sa barbe me brûlaient les fesses, je grognais haletante de bonheur. Durant prêt de dix minutes, le cochon m’a dévoré la chatte et ce ne sont pas les cris, ni mes mains poussant sur son crâne qui l’ont freiné. Je me sentais comme une poupée entre ses mains expertes. Lorsqu’il s’est redressé, me lâchant les fesses un instant, j’ai cessé de gémir, cherchant un second souffle. J’étais en fait au bord de la jouissance. En ouvrant ...
... les yeux alors que je sentais mon cœur battre la chamade, levant ma poitrine au rythme de cette lape saccadée. Le mec était, à genoux, droit entre mes jambes et enfilait un petit costume à son serviteur. Dès lors, je savais que j’allais subir ses assauts et m’en réjouissais ! " "À peine avais-je eu le temps de reprendre mes esprits qu'une main ferme se glissait sous les reins, me levait les fesses en me tirant à lui. "« J’ai trop envie de te la mettre ma belle ! », surprise moi-même de m’entendre lui répondre : « Oh ! Oui prends-moi ! », alors que j’avais déjà les jambes décollées du sol. Sa queue, pas très longue, mais divinement épaisse est entrée en moi avec une facilité déconcertante. Ses mains puissantes me guidaient me maintenant par les hanches. Les fesses à trente centimètres du sol, il m’empalait sur sa grosse pine que je sentais glisser sur les parois vaginales. Je remettais le couvert, criant sous ses coups de verge et plus je m’exprimais, plus il se ruait en moi. Cambrée, je m’offrais à cette épaisse tige qui m’emplissait le bas ventre me faisant gémir de plaisir. Les bras en croix, je contemplais ce braquemart qui me comblait entièrement ; son regard sur mes seins qui roulaient, sautaient au rythme de ses coups de reins répétés, ne faisait qu'amplifier mon plaisir. Une fois de plus, je me sentais partir et gémissais les cuisses grandes ouvertes. Je me mordais la lèvre, étouffant un minimum les cris aigus. Le visage congestionné, il me fixait râlant que j’étais une ...