Ballade en campagne.
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... belle salope. Ses mots me rendaient folle, oui j’étais une salope avide de sexe, gourmande et en manque ! Je lui souriais tout à glissant mon index dans ma bouche que je suçais avec un regard de louve volontairement allumeuse ! La sueur perlait de son front, il grognait de plus belle. Ralentissant ses nombreux assauts, mais les rendant plus violents, ajoutant des « tiens ma coquine ! » Je me suçais l’index gauche et me massais le sein droit, sans jamais le quitter des yeux. Je lisais toute la fièvre sur son visage… "Le pauvre grognait des mots quasi-incompréhensibles, le regard rivé sur moi. Je percevais des « petite salope », alors que je gémissais et gloussais de plaisir… Il s’est essuyé le front du revers du bras et s’est relâché, se laissant choir dans l’herbe ! Une petite tape sur ma fesse : « Retourne-toi ma vicieuse, je vais te finir en levrette ! » Inutile de répondre, je passais la jambe au-dessus de lui et me positionnais, creusant les reins, prenant soin de lui offrir la plus jolie vue possible sur mon arrière-train pulpeux ! : « Une petite fessée… Regarde-moi de cul ! Il mérite bien une bonne troussée ! ! »" "Un coup de rein magistral m’a propulsé en avant, lâchant un grand cri de surprise ! Accroché à mes hanches, il m’a littéralement labouré les entrailles ! Oh ! Pas des heures, quelques minutes tout au plus, mais avec une telle intensité ! Les doigts accrochés dans des touffes d’herbe, je hurlais sans retenue mon plaisir… Sa queue me limait les parois avec ...
... une sensation d’être écartelé ! Il m’administrait quelques fessées tout en me demandant si j’en voulais encore ! Je râlais à en perdre haleine, lui grognant : « Plus fort…. Encore », des arcs électriques me perçaient les entrailles, un orgasme ultra puissant qui n’en finissait plus ! Je n’entendais plus rien, le nez dans l’herbe, j’en hurlais ma jouissance ! " "Lorsqu’il a relâché sa prise, il avait bien compris que j ‘avais eu un orgasme hors du commun ! Il riait sans complètement cesser ses vas et vient en moi. Il me demandait si c’était bon ! Je balbutiais des oui entre deux souffles. Le type m’a alors demandé s’il pouvait me jouir sur les fesses ? Je n ai pas hésité un instant, répondant : « Où tu veux ! » " "Comme une libération en sentant sa pine sortir de mon antre, je gardais la position cherchant même à amplifier mon creux de reins. J’entend encore le latex du préservatif claquer entre ses doigts. Ses soupirs et ses compliments sur mon fessier. À sa demande, je remuais les fesses de droite à gauche tandis qu’il se masturbait tout en se frottant le gland sur mon postérieur. Il tapotait parfois sa verge en râlant que j’avais un sacré cul ! Ses longs soupirs… Ses grognements, comme par mégarde son membre faisait parfois irruption en moi, pour peu, j’aurais remis cela ! " "Son silence inattendu, sa respiration entrecoupée, la dureté de ses gestes et ses tremblements ne m’ont pas trompé ! Il venait, il se lâchait… J’exposais mon cul attentif à la brûlure de son plaisir… ...