BRIDOLINE Histoire véridique d'un jeune homme
Datte: 05/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Transexuels
... déjà fixe et elle dit à mi-voix, comme si elle se fut parlé a elle-même :- Je ne voudrais pourtant pas être obligée de t'enchainer sans cesse ; cela nuirait à la perfection de ton service.Quand la toilette de Myrtile fut terminée, elle gagna son fauteuil et désigna une place à ses pieds à Frida, qui s'accroupit docilement sur un coussin.Alors Myrtile, en un geste de possession, lui posa une main sur la tête, lui rejeta le front en arrière et la regarda profondément. C'était une véritable emprise, qui dominait Frida en même temps que le regard noir pénétrait jusqu'au fond de son être. La main s'était abattue sur cette tête avec la vigueur d'une serre et les bagues qui luisaient à travers la mousse des cheveux d'or, meurtrissaient le cuir chevelu.Ayant conscience qu'un fluide s'échappait de sa paume appuyée et de ses doigts en griffes, Myrtile prolongea l'étreinte pour mieux faire sentir son pouvoir à cet être qu'elle dominait. Quand elle le sentit préparé à recevoir ses ordres comme des lois, elle se décida à parler.- Frida, te voici définitivement éloignée de France, soumise à mon autorité absolue et réellement captive entre les murs de ce château. Je ne te dis point cela pour te menacer de te rendre malheureuse, je te le dis simplement parce que c'est la pure vérité. Tu es une chose à moi, tu le sais puisque ton esclavage ne date pas d'hier et que c'est par ces mots : " Objet à moi" que je t'ai accueilli quand je suis allée à Paris prendre possession du legs vivant que me ...
... donnait le testament de ta tante. Depuis ce jour tu m'appartiens ; tu es esclave, exactement comme l'ont été toutes les créatures capturées dans la guerre et le pillage ou vendues sur un marché. J'ai tous les droits sur toi et maintenant que nous sommes revenues dans ce château perdu au fond de mes domaines, je peux les exercer sans limite ; je pourrais te battre, te torturer - et je le ferai si tu le mérites ou simplement si la fantaisie m'en prend - qui m'en empêcherait ? Je pourrais même te tuer, si tel était men caprice, car ta vie m'appartient et est à ma merci comme tout le reste. Je peux donc te parler en souveraine maitresse et je vais le faire, car j'entends être obéie. Elle prit un temps et sa voix se fit plus impérieuse pour dire : - Jolie Frida, mon esclave, ton passe n'est plus et tu dois l'oublier comme s'il n'avait jamais existé; même si l'on en parlait devant toi (et il y a bien peu de chances pour que la chose se produise), les mots n'éveilleraient aucun souvenir et surtout aucune émotion. Tu n'as rien de commun avec ce turbulent Fred de Montignac, qui a fait le désespoir de ses éducatrices jusqu'au jour où on l'a habille en fille. Tu ne te souviens plus qu'adolescent tu vécus sous le nom de Mademoiselle Frédérique de Montignac, auprès de la belle tante qui prépara le changement de sexe si bien perfectionne, si complètement réalisé par moi ; toute cette partie de ton existence est morte avec la baronne de Saint-Genest elle-même.La voix de Myrtile, si musicale ...