1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°882)


    Datte: 01/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°881) – Même si j’appréhendais grandement la fin de l’heure, et je ne puis expliquer la raison mais paradoxalement, je me mis à mouiller abondamment en entendant ces mots … L’heure passa ainsi, entre cris, coups, solitude. Je devais recevoir une sanction de 50 coups. Le Majordome me dit que pour les sanctions je pouvais crier, il n’y aurait pas de sanction supplémentaire. Je lui fus reconnaissante de cette autorisation, mais s’il me l’avait donné ce n’était pas pour rien, les coups étaient déchirants. Je recevais alternativement dix coups sur le cul ou sur le dos. J’avais la peau en feu ! Et la chatte aussi mais d’excitations ! Pourtant, mais cela je ne le savais pas, Walter y avait été « doucement ». Le ressenti ne correspondait pas à ce qui était soit disant donné doucement ! Le Maître avait donné des ordres pour ne pas que je sois trop « abîmée ». Et Walter et ceux qui l’aideraient dans sa tâche étaient bien au courant et savaient très bien manier les instruments… La seconde heure débuta. Un ou une soumise, du moins je le supposais je ne voyais pas un Dominant s’occuper de cette tâche, m’ôta ma couche, me nettoya. Aussitôt après, on prit possession de ma chatte, et de ma bouche, ce dont je fus reconnaissante, c’était un bon moyen pour ne pas qu’on m’entende ! Après que celui qui m’emplissait ma bouche se soit vidé au fond de ma gorge, celui qui me besognait la chatte se mit à me donner des coups de martinet. Ayant la ...
    ... bouche libre, je ne pus m’empêcher de crier. Mais paradoxalement, plus il s’activait en moi, plus les coups tombaient, et plus je me retrouvais au bord de l’orgasme. Juste avant de m’asséner un dernier coup vigoureux, une voix me douce me murmura à l’oreille : - Jouis petite salope, hurle tant que tu veux ! Et le coup tomba me faisant effectivement hurler de bonheur dans un orgasme foudroyant de douleur et d’extase, et les deux mélangés, ce mélange détonant qui me fit perdre la tête, au point que malgré mes liens je m’affaissais comme je le pouvais. Durant cette seconde heure, je fus besognée par tous mes orifices, toujours en étant frappée juste avant la jouissance. Parfois j’étais autorisée à jouir, à chaque fois avec le droit d’user de ma voix, mais le plus souvent je restais frustrée et me taire. A la fin de cette seconde heure, je reçus à nouveau cinquante coups de fouet. Personne ne me nettoya sur cette heure-là. Du sperme s’échappait de ma chatte, mon cul, ma bouche, quand je n’avais pas réussi à tout avaler. Certains avaient préféré se répandre sur moi, mon dos, sur mon visage, mes cheveux, et plusieurs se soulagèrent aussi la vessie sur moi… Durant la troisième heure, on me fit tester le pade. J’avais beau essayer de me contrôler, les Dominants se servant de moi n’y allaient pas de main morte, je me mordais les joues au sang, je bloquais ma respiration, j’essayais parfois d’échapper aux coups mais rien y faisait ! J’eus de nouveau certaines fois l’autorisation de jouir ...
«1234»