La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°882)
Datte: 01/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mais cette fois ci avec l’obligation de rester silencieuse. Et lorsque ce n’était pas le cas, à vrai dire à chaque fois, vingt coups se rajoutaient à la liste, dix pour avoir crié ma jouissance, dix pour avoir crié sous les coups, peu importait si seulement l’un des deux m’avait fait crier… J’étais épuisée ! Mais aussi et encore très excitée par ma chatte ultra trempée. Je sanglotais, je suppliais… personne ne me répondait. Les seuls mots que j’entendais étaient l’autorisation de jouir ou non, silencieusement ou non ! Et chaque fois que j’implorais, dix coups se rajoutaient à mes sanctions pour avoir parlé sans autorisation. Mon dos, mes fesses, mes jambes surchauffaient, je n’avais plus la moindre force dans mes membres inférieurs pour me soutenir… Heureusement midi sonna. De nombreux pas s’éloignèrent me faisant comprendre que de nombreuses personnes assistaient et participaient à mon supplice. Mon bandeau fut enlevé et je reconnus la soumise qui m’avait nourrie le matin, et qui venait remplir le même office qu’alors. Manger me fit du bien, ainsi que boire, mais m’étant retenue toute la matinée, une forte envie d’uriner me saisit. La soumise le devinant apporta la bassine dans une main, une couche dans l’autre. Je me décidais pour l’humiliation qui me semblait moindre, la bassine. La couche était humiliante dans le port, mais aussi lorsque qu’il fallait me l’ôter et me laver ! Je me soulageais donc en fermant les yeux et ne put ni ne voulut regarder la soumise par la ...
... suite, surtout après qu’elle m’eut quand même nettoyée, rendant mon raisonnement précédent faussé… L’après-midi ressembla au matin, je recevais alternativement fouet, badine, martinet, pade, raquette. Bon sang ce que cela pouvait être douloureux mais encore une fois bien excitant ! Je ne parvenais pas à me comprendre, à comprendre pourquoi la douleur me provoquait de telles excitations à faire couler ma cyprine le long de mes cuisses. Tous ces outils qui me frappaient m’étaient donnés parfois en me faisant besogner par un ou plusieurs orifices simultanément, avec ou sans autorisation de jouir, toujours en criant beaucoup, toujours en refusant la douleur et les coups, mais paradoxalement toujours en mouillant énormément, mes sécrétions se répandant encore sur mes cuisses et même sur le sol. Je ne comptais plus le nombre de coups reçus, ils étaient innombrables ! Je n’en pouvais plus, je criais presque sans discontinuer… L’heure du diner arriva. J’étais toujours attachée. Je ne devais plus ressembler à grand-chose, entre les traces de coups, de sperme, d’urine… Je mangeais sans conviction la pâtée revigorante qu’on m’offrait. J’avais l’impression qu’il ne pouvait y avoir plus malheureux que moi concernant le ressenti de la douleur et plus heureux que moi concernant le ressenti de l’excitation ! Quel incroyable mélange ! Vu l’heure, je m’attendais à ce que mon calvaire cesse enfin. Lorsque Walter s’approcha de moi. - Tu sais, chienne ! J’ai tout mon temps ! Pratiquement tous les ...