1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°882)


    Datte: 01/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Invités de Noël de Monsieur le Marquis te sont passés dessus, et j’ai ainsi pu m’occuper de toutes les tâches qui m’incombent, et me reposer pour passer s’il le faut la nuit à te dresser. Mais crois-moi bien ! Tu ne sortiras pas d’ici tant que tu n’auras pas compris que tu ne dois pas t’exprimer, pas crier, n’émettre le moindre son que si on te l’ordonne ! … Et tu es autorisée à jouir tant que tu veux et j’arrêterais uniquement quand tu réussiras à jouir sans bruit … Tu dois devenir muette comme une carpe… Que ce soit le fouet ou l’orgasme, je réussirai à te faire taire … J’ai toute la nuit pour ça … Il était vingt heures trente, cela faisait douze heures que j’étais attachée à subir tout ce qui pouvait passer par la tête des Dominants. Je subis encore durant 8h. Et au début de ma vingt-et-unième heure de ‘’torture et de délice excitant’, un déclic se fit quelque part en moi. Au lieu de repousser la douleur, de lutter contre elle, je décidais de l’accepter. Au lieu de me raidir, j’essayais de me détendre à chaque coup qui tombait. J’embrassais la douleur, l’accompagnais. J’avais l’impression que ma partie consciente de la douleur quittait mon corps pour me regarder à distance. Je trouvais une respiration qui me permettait de la dépasser. Et à ce moment-là, je pus recevoir les différents instruments en criant beaucoup moins d’abord, pour finir la vingt-deuxième heure silencieusement. Les sanctions que je recevais n’étaient plus dues aux cris, mais aux jouissances qui étaient ...
    ... devenues totalement incontrôlables. De fulgurants orgasmes foudroyants me traversaient tout le corps et quasi sans s’interrompre. De véritables décharges électriques sur toute mon échine remplaçaient la douleur et plus on me fouettait, plus je jouissais. Mais aucun bruit ne sortait de ma bouche. J’en étais arrivé à un niveau incroyable mentalement à jouir fortement mais sans émettre le moindre son… A ne plus sentir la douleur du fouet remplacée par des spasmes jouissifs… Ce qui n’échappa pas à Walter qui dit sur un ton victorieux : - Eh bien ! Il t’en aura fallu du temps ! Vingt-deux heures pour t’apprendre à gérer la douleur, l’accepter et te taire. J’espère que tu prendras moins de temps pour tes prochaines leçons ! Il est six heures et demie du matin, il va être l’heure de distribuer les corvées. Tu vas te rendre immédiatement en quadrupédie dans le bureau de Monsieur le Marquis. Il me détacha et je m’affaissais sur le sol. Walter me laissa quelques minutes pour récupérer, Il me fit abondamment boire de l’eau sucrée puis m’ordonna de lui obéir. Je partis, plus en rampant que réellement sur mes quatre pattes. Et je me dirigeais vers le bureau du Maître. Je frappais faiblement à la porte. En entendant Sa voix puissante et forte, cela me redonna un peu d’énergie et je réussis à prendre une position digne d’une chienne MDE, avant de rentrer dans la pièce et de me prosterner arrivée en son centre. - Ah ma chienne ! A genoux ! Ce fut long, mais je suis dans l’ensemble assez fier ...