1. Compassion


    Datte: 05/08/2017, Catégories: fh, inconnu, hotel, noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, humour, occasion,

    ... je récupère derechef. La séance n’est pas terminée. « Jusquat trognonem inclusivum », se plaisait à dire, en d’autres circonstances, mon ancien prof de latin. Pour l’heure, le trognon vaut l’emballage. Je m’affaire avec énergie et conviction car il me serait bien pratique de parvenir à un résultat précoce. J’ai en effet exceptionnellement omis d’emporter le préservatif qui ne me quitte jamais, pour le cas où. Mais qui aurait pu prévoir ce type de compassion ? De ce fait, je préfère ne pas envisager une suite, pourtant logique. Mon talent de fellatrice est tel que je sens – j’ai l’habitude – le train se préparer à entrer en gare. Juste le temps de me retirer, car je ne raffole pas des débordements abusifs, et le wagon déverse ses voyageurs sur la couverture dans un accompagnement de bruit de frein mouillé. Marcel, tout à son plaisir, ne réalise pas que dans le final, il a couru le risque de prendre froid, car sitôt les lieux inoccupés, je les investis de nouveau pour la maintenance, qui est mon second métier. Là, je fais une faute professionnelle caractérisée. Cédant à mon penchant naturel pour le perfectionnisme, je dépasse le point mort et fais repartir le moteur. C’est phénoménal ! Il est rechargeable quasi instantanément. Elle a dû s’en payer, Fernande, des tournées en boucle ! Je suis partagée entre mon hésitation à assumer et la fierté qui me galvanise. L’orgueil me perdra. Je pompe de nouveau, comme tous les puits du Moyen-Orient. L’or noir, c’est ma vraie vocation. ...
    ... Mais Marcel ne l’entend pas de cette queue-là. Il se retire sans ménagements avec le bruit d’un Juliénas qui n’aura pas le goût de bouchon, et me retourne les fesses à l’air en pesant sur mon dos pour neutraliser toute résistance éventuelle… que je ne songe nullement à opposer. Sa langue clandestine et suave entreprend un ravalement des surfaces accessibles, et de celles qui le sont moins. Elle descend, descend encore et encore, jusqu’au terminus dont je ferme vigoureusement la barrière. En clair, je serre les fesses, car je n’aime guère que l’on s’occupe de mon derrière. Vierge il est, vierge il restera. Ce qui ne paraît pas être l’option choisie par mon inquisiteur. Deux mains puissantes me séparent cependant que cette langue inépuisable plonge directement dans mon cul, sans escale intermédiaire. La surprise est telle que je n’ai pas eu le temps de renforcer mes défenses. Et puis, je dois le reconnaître, la sensation, nouvelle pour mes vingt-trois ans, me séduit aussitôt. Pourquoi n’ai-je jamais accepté auparavant cette extraordinaire sensation de chatouillis presque intenable ? Involontairement, je me cambre et ouvre mon petit fessier de garçon à cette bouche divine. Il s’en empare complètement, me pénètre, m’élargit, me quitte et me reprend. Il tourne sur la petite couronne, joue les extérieurs, et tire au but. Goal ! Pour la première fois de ma vie, j’ai un second plaisir, rapide, brutal et imprévu. Mon petit trou se crispe et s’exaspère. L’intrus sordide y met le doigt et ...
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