Les vacances de Catalina
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
couleurs,
extracon,
inconnu,
vacances,
forêt,
Oral
double,
Partouze / Groupe
... fourrage déjà sa douce fourrure de ses longs doigts sombres. Elle sent le Congo couler entre ses cuisses. Pas l’habituel petit ruisselet sourdi par James mais une cataracte. Elle jouit intensément. Les deux gaillards se regardent et sourient. Leurs dents blanches brillent sur leur face d’ébène, sélène. Catalina met ses mains sous un pagne. C’est carrément gros, long, immense. Elle tâte et caresse. Le noir a un petit soubresaut et laisse choir son étoffe. Il tient sa bite énorme à deux mains. Catalina suce. Elle vient juste de récupérer en cadeau une petite goutte de semence au bout du méat et cherche fébrilement avec sa langue pour en goûter encore. Dépitée, elle fait glisser le doux fourreau. La bite rentre et sort en cadence. Pendant ce temps, l’autre noir ne perd pas son temps. Il enfonce doucement son bel instrument entre les jambes inondées de la petite chipie. La bête se réveille, il lime rapidement très fort. À chaque coup de boutoir, la jeune femme ouvre grand la bouche et avale toujours plus la première friandise. C’est bon, sauvage. Une odeur et un goût musqué de cannelle, d’épices inconnues, poivrées et un peu salées. Mise en appétit, elle leur demande qu’on la prenne de concert. Deux noirs pour une blanche. Un trio accordé. Une symphonie nocturne à trois voix. L’un s’allonge sur le canapé. Sa grosse bougie noire luit bien huilée. Catalina l’enfourche, l’enfourne, puis s’allonge sur lui. Il halète de plaisir, grognant comme un ours. Elle saisit sa bouche. Leurs ...
... langues s’emmêlent torrides. Le second va chercher un peu de foutre entre les jambes écartées, ouvre avec ses doigts le petit trou, crache, lubrifie, et se cale délicatement bien au chaud. Une bête à trois dos s’ébroue sauvagement sous la canopée. Cela dure dix bonnes minutes. Les gémissements se mêlent aux bruits étranges de la forêt. Ils jouissent soudain. En même temps. En phase. Pour Catalina c’est une éternité de bonheur, d’étoiles filantes, de jets chauds, presque douloureux et intarissables. La clameur immense fait s’enfuir l’éléphant et l’oiseau blanc. Peu après, Catalina retrouve sa tente, se couche et s’endort. Apaisée. Le lendemain, jour du départ, il lui semble avoir rêvé. Mais un petit aller-retour de ses mains sur son sexe meurtri lui avoue que non. James a préparé du café. — C’était bon, hier, dit-il. Tiens, mange un peu, reprenons des forces. oooOooo Samedi soir. Catalina est enfin revenue. Je suis en retard. Je n’aime pas ça. Un rendez-vous, ça se respecte. Arriverai-je après le dénouement ? L’ascenseur se fait attendre. Des bruits là-haut. Métalliques. Un déménagement. Je prends l’escalier. Quatre à quatre. Prêt à bondir. J’arrive sur le palier un peu essoufflé. Sonne le signal convenu. Prends et tourne ma clé. Dans l’appartement aucun bruit. Claquant la porte derrière moi, je me dirige vers la chambre. Catalina m’attendait. James, son mari somnole à côté. Epuisé. Rassasié. Il grogne, se retournant d’aise. Catalina à quatre pattes sur le lit est en levrette. Sa ...