1. Les vacances de Catalina


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, fhh, couleurs, extracon, inconnu, vacances, forêt, Oral double, Partouze / Groupe

    ... croupe rebondie, un peu rougie s’offre, superbe. Je me dévêts. Son mari n’a pas fait les choses à moitié. De la chatte bien fournie, légèrement entrouverte un petit filet translucide coule sur ses cuisses chaudes. Son petit cul a été honoré aussi. Son joli duvet en est presque figé. Quel beau mâle. Elle a dû bien jouir la garce. Et pourtant elle en veut encore. À voir la courbure de ses reins qui tressaillent un peu. Je ne perds pas mon temps en préliminaires. Plus besoin, le fer est chaud. Il faut le battre. Je prends ma bite longue et déjà dure dans ma main et en appuyant un peu, j’imprime plusieurs mouvements entre les jambes de la belle. Du ventre poilu au haut des fesses perchées pour bien l’imprégner de la liqueur encore chaude du mélange amoureux. Puis j’enfourne d’un coup le petit, le magnifique petit trou gourmand de Catalina. Je sens déjà les petits poils se dresser de plaisir. Ça glisse bien. Son mari n’a pas lésiné. Une bonne première charge. Son pubis est déjà trempé. De par la configuration millénaire du jouet animal, pointu au bout, joliment renflé puis recreusé en cercle. Un piston efficace et naturel de sélection pour évacuer la semence concurrente. Le liquide s’échappe doucement. On l’entendrait presque clapoter si la belle ne jouissait déjà sans retenue. Et pourtant, en donnant des coups de ...
    ... reins puissants et rapides, en ralentissant consciemment la cadence pour laisser le temps à la mignonne d’en demander encore, j’enlace les jambes de ma proie, mes mains se rejoignant sur la chatte humide. Je vais maintenant l’étancher, l’épancher. Elle ne criera plus sa soif. Je lui donne ce qu’elle réclame, parcimonieusement. Plusieurs fois avec mes doigts. En allers-retours. Elle n’en perd pas une miette, pas une goutte. Sa voix chaude devient plus rauque. Mon instrument racle déjà mieux les douces parois, il n’y a plus rien. Mes doigts me sentent aller et venir à travers la cloison. Il me faut l’honorer à nouveau. Lui donner son dû. En cadeau. Elle le mérite. Elle est si bonne, si chienne. Bandé, préparé par une semaine complète d’abstinence convenue pour une offrande digne du cul d’une reine, je jouis. La femelle ne lèche plus, la tête levée, la bouche ouverte, elle jouit aussi. Son ventre frémit. Ses fesses tressaillent. Des spasmes voisins, concurrents, complémentaires, asynchrones parcourent tout le bas de son ventre. Des milliards d’étoiles explosent. Des crampes bloquent ses bras, ses jambes, ses pieds. Les voisins le sauront. Un feu ardent plein d’artifices. Maintenant, tous trois nous dormons. Demain, il fera jour. Café, footing à trois, et puis après… Après, voudriez-vous que cela vous soit conté ? 
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